Pour ériger la traite négrière en droit international, les explorateurs occidentaux, présentaient et créaient l’engouement des rois et notoriétés africaines des produits qui leurs étaient méconnus et sans valeurs dénommés pacotilles, puis les plaçaient dans une situation de rupture de stock pour monter les enchères aboutissant à la traite négrière. Une fois l’Afrique vidée de ses bras valides, il ne restait plus aux occidentaux que d’occuper entièrement et exploiter ses ressources par la colonisation.
Pour échapper aux conséquences stratégiques d’une révolte généralisée, après la seconde guerre mondiale, les puissances occidentales, substituèrent à la SDN l’ONU et accorda progressivement aux peuples colonisés leurs indépendances à abandonner le titre de colonisés pour le droit au protectorat sans autonomie réelle dans un système où tout est truqué. Sentant cette stratégie de plus en plus déjouée, l’occident sous le couvert de l4ONU, entame alors une occupation légale pour une exploitation des ressources économiques des nations émancipées du tiers monde. Le Pakistan, l’Afghanistan, l’Irak sont occupés plus pour l’exploitation des ressources pétrolières que pour des raisons humanitaires au même moment où l’ONU laissait se passer, le plus grand génocide de l’histoire de l’humanité, en Afrique et définissait une nouvelle division du monde par l’utilisation de la dénomination les axes du mal par les Etats-Unis pour caractériser et indexer les dirigeants et pays ayant compris très tôt leurs objectifs et les enjeux qui stratégiques en l’occurrence, la Syrie, la Libye, l’Iran, etc.
Il est alors évident que la politique de domination, d’appropriation et d’exploitation des ressources du monde, devienne plus actuelle lorsque l’Occident face à son incapacité à gérer le bien être de son peuple, imposa au monde entier la mondialisation, qui, en fait, constitue bel et bien en la légalisation de la Mafia occidentale en vue de s’approprier toutes les ressources mondiales.
La crise actuelle, survenue de façon brute et circonstancielle, au moment où certains dirigeants et dignes fils de l’Afrique et de sa Diaspora finirent par faire de leur viatique la Renaissance africaine, ne pouvait que faire de notre continent, riche de ses ressources et pauvre de ses divisions, le terrain de prédilection des prédateurs des autres race de l’humanité.
Tout le monde sait aujourd’hui que le soulèvement en Libye, n’est point celui de son peuple contre son dirigeant, mais plus une opportunité pour l’occident de frapper le plus fort possible le cœur de l’Afrique pour étouffer définitivement tout acte d’émancipation, d’union et de renaissance. C’est pourquoi, aujourd’hui, pour nous africains, l’enjeu n’est point l’occupation par l’occident de la Libye, mais notre capacité et notre aptitude à imposer à ce monde féroce et dévastateur, notre présence.
Cette présence, nous est aujourd’hui plus que nécessaire, elle se manifeste par notre volonté accrue à réaliser la Renaissance africaine, en mettant fin à la tuerie du peuple africain de Libye, en disant non et de façon énergique à la visée occidentale.
La Renaissance africaine va au-delà des gouvernements, elle doit être une œuvre et une propriété du peuple africain tout entier/ Elle est et demeure note impératif de survie dans ce monde barbare et suicidaire
La Renaissance africaine ne doit pas demeure une simple juxtaposition de mots, mais une réalité profonde qui inonde nos veines et artères, qui fasse de lui le défenseur ardent et ultime de la survie de notre mère Afrique.
La Renaissance africaine est celle qui doit nous amener à mettre fin à ce qui se passe en Libye, chantre des Etats Unis d’Afrique, en menant des actions concrète et efficaces pour arrêter cette infection de l’Afrique et pour que ces virus, les forces alliées de l’occident comprennent que c’est l’heure et la véritable heure de la Renaissance africaine.
El Hadj Idrissa Traoré
Secrétaire Général National du Parti d’actions salutaires pour le travail, l’émergence des forces africaines (Pastef-Afrique)
Pour échapper aux conséquences stratégiques d’une révolte généralisée, après la seconde guerre mondiale, les puissances occidentales, substituèrent à la SDN l’ONU et accorda progressivement aux peuples colonisés leurs indépendances à abandonner le titre de colonisés pour le droit au protectorat sans autonomie réelle dans un système où tout est truqué. Sentant cette stratégie de plus en plus déjouée, l’occident sous le couvert de l4ONU, entame alors une occupation légale pour une exploitation des ressources économiques des nations émancipées du tiers monde. Le Pakistan, l’Afghanistan, l’Irak sont occupés plus pour l’exploitation des ressources pétrolières que pour des raisons humanitaires au même moment où l’ONU laissait se passer, le plus grand génocide de l’histoire de l’humanité, en Afrique et définissait une nouvelle division du monde par l’utilisation de la dénomination les axes du mal par les Etats-Unis pour caractériser et indexer les dirigeants et pays ayant compris très tôt leurs objectifs et les enjeux qui stratégiques en l’occurrence, la Syrie, la Libye, l’Iran, etc.
Il est alors évident que la politique de domination, d’appropriation et d’exploitation des ressources du monde, devienne plus actuelle lorsque l’Occident face à son incapacité à gérer le bien être de son peuple, imposa au monde entier la mondialisation, qui, en fait, constitue bel et bien en la légalisation de la Mafia occidentale en vue de s’approprier toutes les ressources mondiales.
La crise actuelle, survenue de façon brute et circonstancielle, au moment où certains dirigeants et dignes fils de l’Afrique et de sa Diaspora finirent par faire de leur viatique la Renaissance africaine, ne pouvait que faire de notre continent, riche de ses ressources et pauvre de ses divisions, le terrain de prédilection des prédateurs des autres race de l’humanité.
Tout le monde sait aujourd’hui que le soulèvement en Libye, n’est point celui de son peuple contre son dirigeant, mais plus une opportunité pour l’occident de frapper le plus fort possible le cœur de l’Afrique pour étouffer définitivement tout acte d’émancipation, d’union et de renaissance. C’est pourquoi, aujourd’hui, pour nous africains, l’enjeu n’est point l’occupation par l’occident de la Libye, mais notre capacité et notre aptitude à imposer à ce monde féroce et dévastateur, notre présence.
Cette présence, nous est aujourd’hui plus que nécessaire, elle se manifeste par notre volonté accrue à réaliser la Renaissance africaine, en mettant fin à la tuerie du peuple africain de Libye, en disant non et de façon énergique à la visée occidentale.
La Renaissance africaine va au-delà des gouvernements, elle doit être une œuvre et une propriété du peuple africain tout entier/ Elle est et demeure note impératif de survie dans ce monde barbare et suicidaire
La Renaissance africaine ne doit pas demeure une simple juxtaposition de mots, mais une réalité profonde qui inonde nos veines et artères, qui fasse de lui le défenseur ardent et ultime de la survie de notre mère Afrique.
La Renaissance africaine est celle qui doit nous amener à mettre fin à ce qui se passe en Libye, chantre des Etats Unis d’Afrique, en menant des actions concrète et efficaces pour arrêter cette infection de l’Afrique et pour que ces virus, les forces alliées de l’occident comprennent que c’est l’heure et la véritable heure de la Renaissance africaine.
El Hadj Idrissa Traoré
Secrétaire Général National du Parti d’actions salutaires pour le travail, l’émergence des forces africaines (Pastef-Afrique)