De nombreux pays africains disposent également de capacités limitées en matière de soins de santé – le continent ne possédant en moyenne que 1,8 lit d’hôpital pour 1 000 personnes – et ne sont guère en mesure de réduire la transmission de la maladie, seuls 34 % des Africains ayant accès à des installations de lavage des mains à domicile.
Il ressort des données provenant des régions les plus touchées, que les taux de mortalité et d’hospitalisation liées au COVID-19 sont largement fonction de l’âge et de l’existence de pathologies préexistantes. Les maladies cardiovasculaires, les maladies respiratoires, les maladies rénales et les affections immunodéprimées, comme le VIH/sida et la tuberculose, s’avèrent particulièrement dangereuses.
Si l’Afrique présente un profil démographique avantageux (près de 60 % de la population a moins de 25 ans), on peut cependant s’inquiéter de la forte prévalence du VIH/sida en Afrique australe ainsi que des taux élevés de maladies respiratoires et rénales chroniques dans certains pays, en plus de la tuberculose et de la malnutrition.
Il ressort des données provenant des régions les plus touchées, que les taux de mortalité et d’hospitalisation liées au COVID-19 sont largement fonction de l’âge et de l’existence de pathologies préexistantes. Les maladies cardiovasculaires, les maladies respiratoires, les maladies rénales et les affections immunodéprimées, comme le VIH/sida et la tuberculose, s’avèrent particulièrement dangereuses.
Si l’Afrique présente un profil démographique avantageux (près de 60 % de la population a moins de 25 ans), on peut cependant s’inquiéter de la forte prévalence du VIH/sida en Afrique australe ainsi que des taux élevés de maladies respiratoires et rénales chroniques dans certains pays, en plus de la tuberculose et de la malnutrition.