WADE EVOQUE ENCORE SA SUCCESSION EN PENSANT AUX FEMMES: « Moun leen rek, yëf yi bu may dem, yeen la koy bayyee »

Cessez de nous prendre pour des demeurés, Monsieur le Président! Nous ne sommes pas des imbéciles, encore moins vos enfants;car il n'ya qu'un pére inconscient et sénile qui ose prédire à sa progéniture ce que demain sera fait. Nous sommes en République et non en monarchie où on confie à qui on veut le Pouvoir. A vous, personne n'a confié le Pouvoir, en 2000; ce sont des élections libres qui t'ont porté à la tête de Pays; donc laissez au Peuple le droit de choisir le dirigeant qu'il veut.Regarder en arriére, c'est se rappeler comment on a été choisi; regarder devant c'est rendre la piéce de sa monnaie au Peuple, en le remerciant et en lui rendant son droit, c'est-à-dire celui de remettre, souverainement, à un autre le droit de nous gouverner.
Monsieur le Président, votre fils n'est pas pour le moment apte à gouverner et vous le savez bien;c'est sa maman qui vous manipule et vous recommande de le placer là. Tout le monde sait qu'à un certain age,les hommes perdent de leur autorité devant leur épouse, surtout si cette derniére dispose d'un certain ascendant et d'un complexe de supériorité sur soi; et malheureusement c'es le cas pour vous Monsieur le Président :Vous vous êtes marié à Viviane, étant un noir dans un pays de blanc, non pas par amour mais par intérêt.D'ailleurs presque tous les dirigeants noirs africains de l'époque ont eu à épouser des européennes pour simplement améliorer leurs conditions de vie d'alors et pour pouvoir prétendre à un meilleur rang social.Et pour preuve, voilà que Senghor est allé habiter la France aprés sa retraite;Abdou Diouf a fait la même chose et vous aussi, vous n'échapperez pas à la régle.