C'est en effet, lors d'un bref entretien avec le chef de l'Etat que Mahmoud Saleh s'est vu signifier son limogeage. « C'est le Président en personne qui me l'a dit. Maintenant j'attends qu'il me confirme mon limogeage par écrit », dit-il. Saleh semble même connaître les raisons de son départ forcé du Palais car elles les voient dans ses dernières sorties médiatiques. Il y a quelques jours en effet, le nouveau leader du Nouveau parti (NP) Mahmout Saleh chargeait des proches du Président Wade qu'il a accusés de tenir ce dernier en otage. Et dans la même lancée, il a critiqué le boycott des Assises nationales par le pouvoir. Saleh d'ajouter que le pouvoir devrait prendre en compte la flambée des prix qui créé une série de manifestations à Dakar et à l'intérieur du pays. Les Chantiers de l'Anoci devraient faire l'objet d'un audit, avait également soutenu Saleh. Tout comme avait été dénoncé l'absence de loi de finance rectificative pour prendre en charge les 90 milliards générés par la vente de la troisième licence de téléphonie au Sénégal. Le tout nouveau leader du NP n'a pas manqué de charger le leader de Rewmi Idrissa Seck qu'il a accusé d'avoir détourné des dizaines de milliards Cfa.
Jeudi 03 juillet 2008, lors de l'émission-polémique de Walf-Tv, "Pencoo", animée par Pape Ngagne Ndiaye, le leader du Nouveau parti s'est attaqué au Sénat. Pour dire que "les 09 milliards consacrés au Sénat auraient pu servir à autre chose".
Au plus fort de la crise entre le président Wade et son ancien Premier ministre, Idrissa Seck, il avait été le premier à évoquer "un coup d'Etat rampant", puis "un coup d'Etat debout", pour dire que le patron de Rewmi cherchait à prendre la place de son ancien mentor.
Source: Nettali
Jeudi 03 juillet 2008, lors de l'émission-polémique de Walf-Tv, "Pencoo", animée par Pape Ngagne Ndiaye, le leader du Nouveau parti s'est attaqué au Sénat. Pour dire que "les 09 milliards consacrés au Sénat auraient pu servir à autre chose".
Au plus fort de la crise entre le président Wade et son ancien Premier ministre, Idrissa Seck, il avait été le premier à évoquer "un coup d'Etat rampant", puis "un coup d'Etat debout", pour dire que le patron de Rewmi cherchait à prendre la place de son ancien mentor.
Source: Nettali