Le candidat des Forces Alliés (FAL) 2012 a commencé sa campagne électorale pour le second tour de la présidentielle par une visite de courtoisie au Khalife général des mourides dans sa retraite de Tawfekh. L’occasion pour Me Abdoulaye Wade de renouveler son allégeance et de faire des promesses de lendemains enchanteurs pour Touba et le Sénégal.
«Si je suis devenu président de la République, c’est par la grâce de Cheikh Ahmadou Bamba, par le biais des prières de ces différents khalifes, de Serigne Fallou à vous». C’est en ces mots que le candidat Abdoulaye Wade a tenu à renouveler son allégeance à Serigne Cheikh Maty Lèye, le khalife général des mourides. Pour Me Wade, si Serigne Touba lui a permis de devenir président de la République du Sénégal, c’est pour satisfaire à deux exigences. «D’abord, travailler pour le rayonnement de Touba et du mouridisme et ensuite, travailler pour le Sénégal», a lancé Me Abdoulaye Wade.
Sur sa lancée, Me Abdoulaye Wade a promis la construction d’un aéroport moderne à Touba et l’achèvement des travaux déjà entamés. Aéroport qui sera construit selon la méthode BOT (NDLR : build operate and transfert) à l’image de Diass, «aéroport le plus moderne d’Afrique». L’aéroport Blaise Diagne, l’autoroute à péage et d’autres infrastructures, constituent les grands chantiers, à parachever, du candidat Abdoulaye Wade. C’est pour cette raison qu’il s’est présenté à Touba «pour solliciter des prières afin de parachever ces œuvres dans trois ans». Le candidat des FAL 2012 a aussi promis de «céder la place à (son) successeur qui qu’il puisse être».
«Je suis venu demander à celui qui m’avait donné le pouvoir de me permettre de parachever l’œuvre entamée. Car, je ne vois personne capable de le faire à ma place. Sinon, ce serait du gâchis», dira Abdoulaye Wade au khalife des mourides. Ce dernier, par la voix de son porte-parole, Serigne Bass Abdoul Khadre avait auparavant «accepté l’allégeance du candidat Abdoulaye Wade». Le porte-parole du khalife s’est également félicité «du calme et de la sérénité qui a accompagné l’élection présidentielle du 26 février dernier». Il a en outre appelé à un second tour qui s’inscrit dans la même dynamique, car «le Sénégal ne s’arrête pas en 2012 et les élections ne sont qu’une étape dans la vie d’une nation».
«Si je suis devenu président de la République, c’est par la grâce de Cheikh Ahmadou Bamba, par le biais des prières de ces différents khalifes, de Serigne Fallou à vous». C’est en ces mots que le candidat Abdoulaye Wade a tenu à renouveler son allégeance à Serigne Cheikh Maty Lèye, le khalife général des mourides. Pour Me Wade, si Serigne Touba lui a permis de devenir président de la République du Sénégal, c’est pour satisfaire à deux exigences. «D’abord, travailler pour le rayonnement de Touba et du mouridisme et ensuite, travailler pour le Sénégal», a lancé Me Abdoulaye Wade.
Sur sa lancée, Me Abdoulaye Wade a promis la construction d’un aéroport moderne à Touba et l’achèvement des travaux déjà entamés. Aéroport qui sera construit selon la méthode BOT (NDLR : build operate and transfert) à l’image de Diass, «aéroport le plus moderne d’Afrique». L’aéroport Blaise Diagne, l’autoroute à péage et d’autres infrastructures, constituent les grands chantiers, à parachever, du candidat Abdoulaye Wade. C’est pour cette raison qu’il s’est présenté à Touba «pour solliciter des prières afin de parachever ces œuvres dans trois ans». Le candidat des FAL 2012 a aussi promis de «céder la place à (son) successeur qui qu’il puisse être».
«Je suis venu demander à celui qui m’avait donné le pouvoir de me permettre de parachever l’œuvre entamée. Car, je ne vois personne capable de le faire à ma place. Sinon, ce serait du gâchis», dira Abdoulaye Wade au khalife des mourides. Ce dernier, par la voix de son porte-parole, Serigne Bass Abdoul Khadre avait auparavant «accepté l’allégeance du candidat Abdoulaye Wade». Le porte-parole du khalife s’est également félicité «du calme et de la sérénité qui a accompagné l’élection présidentielle du 26 février dernier». Il a en outre appelé à un second tour qui s’inscrit dans la même dynamique, car «le Sénégal ne s’arrête pas en 2012 et les élections ne sont qu’une étape dans la vie d’une nation».