Deux quotidiens, avec des versions relativement différentes, ont laissé croire à l’opinion, que j’aurais été mêlé à une affaire dans laquelle, seraient impliqués des lutteurs, qui seraient venus à la Résidence du Président Abdoulaye WADE, à Fann, pour réclamer je ne sais quoi.
L’un des organes prétend, que j’aurais essayé de raisonner lesdits lutteurs, l’autre, que, devant la furie des concernés, j’aurais pris la tangente.
J’oppose le démenti le plus formel à ces allégations inventées de toutes pièces, à des fins de désinformation délibérée, en prenant Dieu (qui détient le pouvoir de sonder les âmes), à témoin. Il aurait, pourtant, suffi de me contacter pour éviter d’écrire des inexactitudes.
Je tiens à dire :
1°) que je n’ai eu connaissance des évènements, dont il est fait état, qu’en lisant les journaux du Vendredi;
2°) que je ne pouvais, donc, pas proposer une intermédiation, puisque je ne savais même pas, que les évènements décrits s’étaient déroulés;
3°) qu’arrivé à la Résidence du Président WADE vers 18H, sans la moindre difficulté, j’ai fait un salut de la main à ceux qui étaient dans la rue, avant d’entrer dans la Résidence.
Par ma présence, je voulais témoigner au Secrétaire Général National du PDS, ma fidélité totale aux idéaux patriotiques, souverainistes, fédéralistes et pan-noirs, que nous partageons, ainsi qu’à ceux de dignité, de justice, de « jom » et de « ngor », en ces heures difficiles.
Le Président WADE était en train de recevoir la Fédération de Tivaouane du PDS.
Dès qu’il m’a vu, il m’a fait signe d’entrer, pour assister à la réunion.
Je me suis assis à ses côtés pendant tout le reste de l’audience, avant d’être rejoint par le Ministre d’Etat Cheikh Tidiane SY.
4°) L’audience terminée, je suis sortie de la salle, derrière le Président, pour aller regagner ma voiture et retourner chez moi.
5°) A aucun moment, je n’ai eu connaissance d’un quelconque incident fomenté par des lutteurs.
Je me rappelle avoir cherché à calmer une femme, que j’ai entendu dire, alors que je passais devant elle, qu’elle était là depuis 08H du matin. Je lui ai conseillée, brièvement, de ne pas désespérer et de patienter, car son tour viendra, avant de continuer mon chemin.
Je n’ai, donc, eu, à aucun moment, « à prendre la tangente », puisque n’étant informé de rien, encore moins d’un quelconque danger, je n’avais aucune raison de le faire.
J’ai regagné ma voiture calmement, sans aucune précipitation, car dans la zone où je me trouvais, il n’y avait aucune agitation et je n’en ai pas, personnellement, perçu ailleurs.
On m’a, donc, prêté un rôle et des comportements, que je n’ai jamais eus. A quelles fins ?
Je prends Dieu à témoin, en plus des deux personnes qui m’accompagnaient.
C’est la deuxième fois en une semaine, que je suis injustement diffamé.
Je ne crois évidemment pas au hasard.
Ampliation :
-SYNPICS
-CORED
Professeur Iba Der THIAM
Agrégé de l’Université
Docteur d’Etat
Ancien Ministre
Député à l’Assemblée Nationale
Villa 5257 Sicap Liberté IV
Tél. /Fax : (221) 824 07 57
DAKAR (Sénégal)
L’un des organes prétend, que j’aurais essayé de raisonner lesdits lutteurs, l’autre, que, devant la furie des concernés, j’aurais pris la tangente.
J’oppose le démenti le plus formel à ces allégations inventées de toutes pièces, à des fins de désinformation délibérée, en prenant Dieu (qui détient le pouvoir de sonder les âmes), à témoin. Il aurait, pourtant, suffi de me contacter pour éviter d’écrire des inexactitudes.
Je tiens à dire :
1°) que je n’ai eu connaissance des évènements, dont il est fait état, qu’en lisant les journaux du Vendredi;
2°) que je ne pouvais, donc, pas proposer une intermédiation, puisque je ne savais même pas, que les évènements décrits s’étaient déroulés;
3°) qu’arrivé à la Résidence du Président WADE vers 18H, sans la moindre difficulté, j’ai fait un salut de la main à ceux qui étaient dans la rue, avant d’entrer dans la Résidence.
Par ma présence, je voulais témoigner au Secrétaire Général National du PDS, ma fidélité totale aux idéaux patriotiques, souverainistes, fédéralistes et pan-noirs, que nous partageons, ainsi qu’à ceux de dignité, de justice, de « jom » et de « ngor », en ces heures difficiles.
Le Président WADE était en train de recevoir la Fédération de Tivaouane du PDS.
Dès qu’il m’a vu, il m’a fait signe d’entrer, pour assister à la réunion.
Je me suis assis à ses côtés pendant tout le reste de l’audience, avant d’être rejoint par le Ministre d’Etat Cheikh Tidiane SY.
4°) L’audience terminée, je suis sortie de la salle, derrière le Président, pour aller regagner ma voiture et retourner chez moi.
5°) A aucun moment, je n’ai eu connaissance d’un quelconque incident fomenté par des lutteurs.
Je me rappelle avoir cherché à calmer une femme, que j’ai entendu dire, alors que je passais devant elle, qu’elle était là depuis 08H du matin. Je lui ai conseillée, brièvement, de ne pas désespérer et de patienter, car son tour viendra, avant de continuer mon chemin.
Je n’ai, donc, eu, à aucun moment, « à prendre la tangente », puisque n’étant informé de rien, encore moins d’un quelconque danger, je n’avais aucune raison de le faire.
J’ai regagné ma voiture calmement, sans aucune précipitation, car dans la zone où je me trouvais, il n’y avait aucune agitation et je n’en ai pas, personnellement, perçu ailleurs.
On m’a, donc, prêté un rôle et des comportements, que je n’ai jamais eus. A quelles fins ?
Je prends Dieu à témoin, en plus des deux personnes qui m’accompagnaient.
C’est la deuxième fois en une semaine, que je suis injustement diffamé.
Je ne crois évidemment pas au hasard.
Ampliation :
-SYNPICS
-CORED
Professeur Iba Der THIAM
Agrégé de l’Université
Docteur d’Etat
Ancien Ministre
Député à l’Assemblée Nationale
Villa 5257 Sicap Liberté IV
Tél. /Fax : (221) 824 07 57
DAKAR (Sénégal)