Monsieur le Ministre
Le 09 Février 1980, il ya aujourd’hui 31 ans, à la tête d’un commando composé principalement de N’guirane N’Diaye (ancien vice président de l’Assemblée National), Meïssa Dieng (Actuelle Président du conseil d’administration du Petit Train Bleu à Thiès) et d’une dizaine de nervis sans envergure aucune, vous avez tenté de nous éliminer physiquement ! rattrapé
Vos ordres macabres « Cassez leur les jambes et les bras, mettez du sable dans leurs narines ! » résonnent encore dans mes oreilles et font traverser mon corps d’un long frisson.
Notre seul tort, Mamadou Fall Puritain et moi ayant été d’avoir engagé une lutte courageuse contre le Secrétaire national du PDS, Maitre Abdoulaye Wade pour freiner ses velléités patrimonialistes et ses phobies à faire du PDS naissant sa ‘’ chose’’ à lui seul.
Froidement, vous nous avez tendu un traquenard, nous faisant croire que dans le conflit qui nous opposait à Maitre Wade et à la suite d’une longue réflexion plusieurs secteurs du parti sous votre direction avaient décidé de rejoindre notre tendance, la tendance B dans son combat pour une gestion démocratique du PDS.
Vous vous rappelez nous avoir attirés à la ‘’Cité Lamy ‘’ et avec vos acolytes vous être acharnés sur nous dans le seul objectif de nous ôter la vie !
Vos différents aveux à la police et au cabinet du juge d’instruction du tribunal de Thiès continuent de bourdonner dans mes oreilles.
Mamadou Fall Puritain est mort, les séquelles de ses blessures, malgré l’intervention des meilleurs médecins Soviétiques n’ont pu avoir raison des profonds dommages des coups et blessures que vous lui avez fait subir.
Quant à moi, je continue à remercier le bon Dieu qui n’a pas accompli votre complot macabre qui, s’il avait réussi, aurait laissé ma jeune épouse veuve avec deux petits bouts de bois de Dieu en charge.
N’guirane N’Diaye est mort d’une longue, très longue maladie. Quant à vous, malgré vos multiples compromis et compromissions multiformes qui jusqu’ici vous ont épargnés la prison ils ne sauraient vous soustraire de la justice divine, celle-là est implacable et irréversible.
Recevez Monsieur l’expression renouveler de ma ferme condamnation
Cheikh Tidiane Faye pressafrik.com
Le 09 Février 1980, il ya aujourd’hui 31 ans, à la tête d’un commando composé principalement de N’guirane N’Diaye (ancien vice président de l’Assemblée National), Meïssa Dieng (Actuelle Président du conseil d’administration du Petit Train Bleu à Thiès) et d’une dizaine de nervis sans envergure aucune, vous avez tenté de nous éliminer physiquement ! rattrapé
Vos ordres macabres « Cassez leur les jambes et les bras, mettez du sable dans leurs narines ! » résonnent encore dans mes oreilles et font traverser mon corps d’un long frisson.
Notre seul tort, Mamadou Fall Puritain et moi ayant été d’avoir engagé une lutte courageuse contre le Secrétaire national du PDS, Maitre Abdoulaye Wade pour freiner ses velléités patrimonialistes et ses phobies à faire du PDS naissant sa ‘’ chose’’ à lui seul.
Froidement, vous nous avez tendu un traquenard, nous faisant croire que dans le conflit qui nous opposait à Maitre Wade et à la suite d’une longue réflexion plusieurs secteurs du parti sous votre direction avaient décidé de rejoindre notre tendance, la tendance B dans son combat pour une gestion démocratique du PDS.
Vous vous rappelez nous avoir attirés à la ‘’Cité Lamy ‘’ et avec vos acolytes vous être acharnés sur nous dans le seul objectif de nous ôter la vie !
Vos différents aveux à la police et au cabinet du juge d’instruction du tribunal de Thiès continuent de bourdonner dans mes oreilles.
Mamadou Fall Puritain est mort, les séquelles de ses blessures, malgré l’intervention des meilleurs médecins Soviétiques n’ont pu avoir raison des profonds dommages des coups et blessures que vous lui avez fait subir.
Quant à moi, je continue à remercier le bon Dieu qui n’a pas accompli votre complot macabre qui, s’il avait réussi, aurait laissé ma jeune épouse veuve avec deux petits bouts de bois de Dieu en charge.
N’guirane N’Diaye est mort d’une longue, très longue maladie. Quant à vous, malgré vos multiples compromis et compromissions multiformes qui jusqu’ici vous ont épargnés la prison ils ne sauraient vous soustraire de la justice divine, celle-là est implacable et irréversible.
Recevez Monsieur l’expression renouveler de ma ferme condamnation
Cheikh Tidiane Faye pressafrik.com