En présidant ce mercredi 1er janvier au Grand Théâtre national la cérémonie de remise du « grand prix du chef de l’Etat pour la promotion de la femme », Me Wade ne pouvait manquer de réagir à la crise politique qui s’exacerbe, avec les violences et des pressions occidentales, à deux jours de l’ouverture de la campagne électorale.
« Ces turbulences n’ont pas agité les Sénégalais (sic) ! », a déclaré Me Wade. Selon le président sortant, « c’est une brise », évoquant les troubles qui ont éclaté à Dakar et dans plusieurs villes du Sénégal depuis la validation de sa candidature à la présidentielle par le M 23, avec des morts et des dizaines de blessés graves.
« Une brise est un vent leger qui secoue les feuilles des arbres, mais elle ne devient jamais un ouragan », a insisté Me Wade sous les vivats de ses partisans, réunis par la ministre d’Etat Aïda Mbodj.
« Un ouragan ne secouera jamais le Sénégal », a martelé le candidat des Fal 2012. Le même jour, le ministre français des Affaires Etrangères, Alain Juppé, en séance de questions orales à l’Assemblée nationale, a demandé à Me Wade de céder la place à « la nouvelle génération ».
« Ces turbulences n’ont pas agité les Sénégalais (sic) ! », a déclaré Me Wade. Selon le président sortant, « c’est une brise », évoquant les troubles qui ont éclaté à Dakar et dans plusieurs villes du Sénégal depuis la validation de sa candidature à la présidentielle par le M 23, avec des morts et des dizaines de blessés graves.
« Une brise est un vent leger qui secoue les feuilles des arbres, mais elle ne devient jamais un ouragan », a insisté Me Wade sous les vivats de ses partisans, réunis par la ministre d’Etat Aïda Mbodj.
« Un ouragan ne secouera jamais le Sénégal », a martelé le candidat des Fal 2012. Le même jour, le ministre français des Affaires Etrangères, Alain Juppé, en séance de questions orales à l’Assemblée nationale, a demandé à Me Wade de céder la place à « la nouvelle génération ».