« La gazette a appris auprès de sources diplomatiques que l'ancien président de la république Me Abdoulaye Wade pourrait être inquiété par la justice à cause de rétro commissions importantes qui lui ont été payées par l'homme d'affaire Loum Diagne pour avoir obtenu des privilèges dans la conduite des opérations du Festival mondial des arts nègres (Fesman). »
Selon l'article intitulé « Wade devant la Cour de justice ? », lu par Le Populaire, « le sieur Diagne avait reçu de la Banque islamique de développement (Bid), des sommes d'argent équivalent à 15 milliards de francs CFA au nom de l'Etat du Sénégal. Les rétro commissions reçues par Wade ont été payées par deux fois auprès de la notaire Patricia Lake Diop. Le gouvernement du Sénégal dispose de documents comptables authentiques justifiant des détournements d'argent constitutifs à l'égard de l'ancien chef de l'Etat des faits de corruption. »
A prèsent la question que se pose le journal est de savoir si « ces infractions peuvent être considérées comme de la haute trahison. Auquel cas, Abdoulaye Wade pourrait se retrouver devant la Haute Cour de justice après les élections législatives ? Mais Macky Sall ne verrait pas d'un bon œil qu'une telle procédure soit déclenchée contre son prédécesseur. », rapporte Le Populaire.
Selon l'article intitulé « Wade devant la Cour de justice ? », lu par Le Populaire, « le sieur Diagne avait reçu de la Banque islamique de développement (Bid), des sommes d'argent équivalent à 15 milliards de francs CFA au nom de l'Etat du Sénégal. Les rétro commissions reçues par Wade ont été payées par deux fois auprès de la notaire Patricia Lake Diop. Le gouvernement du Sénégal dispose de documents comptables authentiques justifiant des détournements d'argent constitutifs à l'égard de l'ancien chef de l'Etat des faits de corruption. »
A prèsent la question que se pose le journal est de savoir si « ces infractions peuvent être considérées comme de la haute trahison. Auquel cas, Abdoulaye Wade pourrait se retrouver devant la Haute Cour de justice après les élections législatives ? Mais Macky Sall ne verrait pas d'un bon œil qu'une telle procédure soit déclenchée contre son prédécesseur. », rapporte Le Populaire.