Cependant, Idrissa Seck selon d'autres informations recueillies par politicosn.com, ne voulait même pas "être directeur de campagne en 2012". "L'essentiel pour le maire de Thiès serait d'être le candidat du Parti démocratique sénégalais en 2012, c'est cela qu'il vise", indique la même source.
Selon « L’Observateur », « la rupture semble une nouvelle fois imminente entre Me Abdoulaye Wade et Idrissa Seck. À l’origine de ce coup de froid, les déclarations jugées « fracassantes et déplacées » que le maire Thiès a faites lors de sa dernière visite aux Etats-Unis. Selon des sources très au fait des intrigues du Palais et du Pds, le chef de l’Etat aurait pris la décision de renoncer à l’idée de bombarder son ancien Premier ministre au poste de Directeur de campagne pour l’élection présidentielle de 2012. Un scénario qui pourrait radicaliser davantage le président de l’ex ( ?) Rewmi et le pousser à affronter, à nouveau, celui dont il disait être le jardinier de ses rêves ».
el malick seck politicosn.com
Selon « L’Observateur », « la rupture semble une nouvelle fois imminente entre Me Abdoulaye Wade et Idrissa Seck. À l’origine de ce coup de froid, les déclarations jugées « fracassantes et déplacées » que le maire Thiès a faites lors de sa dernière visite aux Etats-Unis. Selon des sources très au fait des intrigues du Palais et du Pds, le chef de l’Etat aurait pris la décision de renoncer à l’idée de bombarder son ancien Premier ministre au poste de Directeur de campagne pour l’élection présidentielle de 2012. Un scénario qui pourrait radicaliser davantage le président de l’ex ( ?) Rewmi et le pousser à affronter, à nouveau, celui dont il disait être le jardinier de ses rêves ».
el malick seck politicosn.com
Clash entre Abdoulaye Wade et Idrissa Seck depuis les Etats-Unis: Idy ne sera pas son directeur de Campagne
Les propos d’Idrissa Seck fâchent Wade: Mara ne sera pas son directeur de campagne du président
- La presse pense qu’il y a un clash entre Idrissa Seck et le président de la République. Me Abdoulaye Wade n’aurait pas aimé les propos tenus par son ex-Premier ministre dans les jardins de Central Park, devant ses partisans. Il aurait ainsi renoncé à faire du maire de Thiès son directeur de campagne comme il l’avait décidé, selon la presse. La pénurie de gaz et le retour des coupures d’électricité préoccupent également la presse.
« Outré par les sorties fracassantes du maire de Thiès aux Etats-Unis, Wade renonce à faire de Idy son Directeur de campagne en 2012 », écrit « L’Observateur ».
Selon « L’Observateur », « la rupture semble une nouvelle fois imminente entre Me Abdoulaye Wade et Idrissa Seck. À l’origine de ce coup de froid, les déclarations jugées « fracassantes et déplacées » que le maire Thiès a faites lors de sa dernière visite aux Etats-Unis. Selon des sources très au fait des intrigues du Palais et du Pds, le chef de l’Etat aurait pris la décision de renoncer à l’idée de bombarder son ancien Premier ministre au poste de Directeur de campagne pour l’élection présidentielle de 2012. Un scénario qui pourrait radicaliser davantage le président de l’ex ( ?) Rewmi et le pousser à affronter, à nouveau, celui dont il disait être le jardinier de ses rêves ».
« Me Wade a été piqué au vif par le compte-rendu fait par la presse, et corroboré par ses canaux, de la dernière sortie d’Idrissa Seck aux Etats-Unis devant ses militants. Selon des sources proches de la direction du Pds et du Palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor, le maître de céans n’est pas du tout content. « Il nous l’a manifesté, avant de nous dire qu’il a finalement abandonné l’idée de faire du maire de Thiès son Directeur de campagne nationale pour la présidentielle de 2012 », confient nos interlocuteurs. Lesquels précisent que le président de la République était en train de réfléchir sur deux profils – Idrissa Seck et Me Souleymane Ndéné Ndiaye – pour conduire sa campagne lors de la prochaine présidentielle. Allant plus loin dans leurs explications des « raisons de la colère de Wade », nos sources citent ces propos que le maire de Thiès aurait tenus au pays de l’Oncle Sam, au micro du journaliste Dame Babou, administrateur du site Yolele.com, et devant beaucoup de témoins : « J’avais dit à Macky Sall que Wade n’allait pas me détruire pour qu’il en profite. Je lui ai répété que ni lui ni Cheikh Tidiane Gadio ne pouvait bénéficier du complot d’Etat contre moi. Wade ne le ferait jamais pour qu’ils en profitent. Wade a fait tout cela pour les beaux yeux d’une seule personne (…) Quand je disais : tuez le fils d’emprunt pour installer le fils biologique, qui d’entre vous me croyait ? Aujourd’hui, plus personne ne le conteste. Maintenant, le fait que je sois retourné au Pds va rendre énormément difficile, voire impossible, ce projet monarchique. Je ne dirai pas que ce projet est éteint, mais cela va être très difficile », rapporte « L’Observateur ».
Poursuivant, toujours dans les colonnes de « L’Observateur », Idrissa Seck, parlant à ses militants, a déclaré : « il y a une première chose que l’Etat a fabriquée contre moi en m’accusant de détournement de deniers publics. J’ai répondu à ça de façon claire et sans équivoque. J’ai dit d’ici à l’extinction du soleil, personne ne trouvera chez moi un centime dont l’origine n’est pas propre ou licite. Même si les investigations devaient s’étendre à la planète entière et même à l’univers entier. Je l’ai dit face à un Etat qui m’accusait, qui avait son appareil de propagande, sa gendarmerie, sa police, ses commissions rogatoires, son arsenal juridique. Mais à l’arrivée : non-lieu. Nous n’avons même pas une phrase qui peut remettre en cause l’honorabilité d’Idrissa Seck. Le degré de violence avec laquelle l’Etat m’a attaqué, s’il y avait quelque chose de possible dans cette affaire, ça vous aurait été dit. Et j’ai dit à tous ceux qui étaient autour du dossier que je n’ai rien à dire là-dessus parce que, dès le premier jour, j’ai dit que l’histoire des fonds politiques est claire. Dans tous les Etats du monde, il y a des fonds politiques, qui sont remis, du fait de la loi, à la discrétion exclusive du chef de l’Etat. Qu’il dépense sans avoir à en rendre compte. J’ai dit que j’en avais la gestion. J’agissais directement sur les instructions du président de la République. Ces fonds ont été regardés en long et en large, là aussi, même conclusion, strictement rien d’illégal n’a pu m’être reproché. J’ai dit que, dans le cadre de l’amélioration de mes moyens d’intervention politiques et sociales, ce que j’en ai reçu est allé dans ces directions. Ma parole est simple et invariable. Maintenant, la propagande adverse peut raconter ce qu’elle veut. C’est cette propagande adverse qui sera abaissée et ma parole élevée. Il n’y a pas un point sur lequel je me suis dédit. Ma parole est restée constante et stable. Et elle ne changera pas. Maintenant, qu’il y ait autour des aboiements d’adversaires désireux de me détruire pour mettre quelqu’un d’autre, c’est possible. Mais, il n’y a qu’une seule chose qui soit belle, c’est la vérité. Et c’est cette vérité que je vous ai annoncée le premier jour, lorsque la Dic s’est présentée chez moi. J’ai dit, d’ici à l’extinction du soleil, ils n’auront d’autre voix que de dire non-lieu ».
Les déclarations du Maire de Thiès, Idrissa Seck, lors de son voyage aux Etats Unis devant ses militants n’ont pas plu au chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade. En effet, ce dernier est très remonté contre son ancien Premier Ministre. Il a même décidé de ne plus lui confier le poste de Directeur de campagne pour l’élection présidentielle de 2012. «Le Président nous a manifesté qu’il n’est pas content, avant de nous dire qu’il a finalement abandonné l’idée de faire du maire de Thiès son directeur de campagne nationale pour la présidentielle de 2012» a révélé une des sources de nos confrères du journal l’Observateur.
Selon toujours ces informateurs de nos confrères, le Président de la République était en train de réfléchir sur deux profils: Idrissa Seck et Me Souleymane Ndéné Ndiaye pour conduire sa campagne lors de la prochaine présidentielle.
Les raisons de la colère de Me Wade seraient liées aux propos que le Maire de Thiès aurait tenus aux Etats Unis.
pressafrik.com
- La presse pense qu’il y a un clash entre Idrissa Seck et le président de la République. Me Abdoulaye Wade n’aurait pas aimé les propos tenus par son ex-Premier ministre dans les jardins de Central Park, devant ses partisans. Il aurait ainsi renoncé à faire du maire de Thiès son directeur de campagne comme il l’avait décidé, selon la presse. La pénurie de gaz et le retour des coupures d’électricité préoccupent également la presse.
« Outré par les sorties fracassantes du maire de Thiès aux Etats-Unis, Wade renonce à faire de Idy son Directeur de campagne en 2012 », écrit « L’Observateur ».
Selon « L’Observateur », « la rupture semble une nouvelle fois imminente entre Me Abdoulaye Wade et Idrissa Seck. À l’origine de ce coup de froid, les déclarations jugées « fracassantes et déplacées » que le maire Thiès a faites lors de sa dernière visite aux Etats-Unis. Selon des sources très au fait des intrigues du Palais et du Pds, le chef de l’Etat aurait pris la décision de renoncer à l’idée de bombarder son ancien Premier ministre au poste de Directeur de campagne pour l’élection présidentielle de 2012. Un scénario qui pourrait radicaliser davantage le président de l’ex ( ?) Rewmi et le pousser à affronter, à nouveau, celui dont il disait être le jardinier de ses rêves ».
« Me Wade a été piqué au vif par le compte-rendu fait par la presse, et corroboré par ses canaux, de la dernière sortie d’Idrissa Seck aux Etats-Unis devant ses militants. Selon des sources proches de la direction du Pds et du Palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor, le maître de céans n’est pas du tout content. « Il nous l’a manifesté, avant de nous dire qu’il a finalement abandonné l’idée de faire du maire de Thiès son Directeur de campagne nationale pour la présidentielle de 2012 », confient nos interlocuteurs. Lesquels précisent que le président de la République était en train de réfléchir sur deux profils – Idrissa Seck et Me Souleymane Ndéné Ndiaye – pour conduire sa campagne lors de la prochaine présidentielle. Allant plus loin dans leurs explications des « raisons de la colère de Wade », nos sources citent ces propos que le maire de Thiès aurait tenus au pays de l’Oncle Sam, au micro du journaliste Dame Babou, administrateur du site Yolele.com, et devant beaucoup de témoins : « J’avais dit à Macky Sall que Wade n’allait pas me détruire pour qu’il en profite. Je lui ai répété que ni lui ni Cheikh Tidiane Gadio ne pouvait bénéficier du complot d’Etat contre moi. Wade ne le ferait jamais pour qu’ils en profitent. Wade a fait tout cela pour les beaux yeux d’une seule personne (…) Quand je disais : tuez le fils d’emprunt pour installer le fils biologique, qui d’entre vous me croyait ? Aujourd’hui, plus personne ne le conteste. Maintenant, le fait que je sois retourné au Pds va rendre énormément difficile, voire impossible, ce projet monarchique. Je ne dirai pas que ce projet est éteint, mais cela va être très difficile », rapporte « L’Observateur ».
Poursuivant, toujours dans les colonnes de « L’Observateur », Idrissa Seck, parlant à ses militants, a déclaré : « il y a une première chose que l’Etat a fabriquée contre moi en m’accusant de détournement de deniers publics. J’ai répondu à ça de façon claire et sans équivoque. J’ai dit d’ici à l’extinction du soleil, personne ne trouvera chez moi un centime dont l’origine n’est pas propre ou licite. Même si les investigations devaient s’étendre à la planète entière et même à l’univers entier. Je l’ai dit face à un Etat qui m’accusait, qui avait son appareil de propagande, sa gendarmerie, sa police, ses commissions rogatoires, son arsenal juridique. Mais à l’arrivée : non-lieu. Nous n’avons même pas une phrase qui peut remettre en cause l’honorabilité d’Idrissa Seck. Le degré de violence avec laquelle l’Etat m’a attaqué, s’il y avait quelque chose de possible dans cette affaire, ça vous aurait été dit. Et j’ai dit à tous ceux qui étaient autour du dossier que je n’ai rien à dire là-dessus parce que, dès le premier jour, j’ai dit que l’histoire des fonds politiques est claire. Dans tous les Etats du monde, il y a des fonds politiques, qui sont remis, du fait de la loi, à la discrétion exclusive du chef de l’Etat. Qu’il dépense sans avoir à en rendre compte. J’ai dit que j’en avais la gestion. J’agissais directement sur les instructions du président de la République. Ces fonds ont été regardés en long et en large, là aussi, même conclusion, strictement rien d’illégal n’a pu m’être reproché. J’ai dit que, dans le cadre de l’amélioration de mes moyens d’intervention politiques et sociales, ce que j’en ai reçu est allé dans ces directions. Ma parole est simple et invariable. Maintenant, la propagande adverse peut raconter ce qu’elle veut. C’est cette propagande adverse qui sera abaissée et ma parole élevée. Il n’y a pas un point sur lequel je me suis dédit. Ma parole est restée constante et stable. Et elle ne changera pas. Maintenant, qu’il y ait autour des aboiements d’adversaires désireux de me détruire pour mettre quelqu’un d’autre, c’est possible. Mais, il n’y a qu’une seule chose qui soit belle, c’est la vérité. Et c’est cette vérité que je vous ai annoncée le premier jour, lorsque la Dic s’est présentée chez moi. J’ai dit, d’ici à l’extinction du soleil, ils n’auront d’autre voix que de dire non-lieu ».
Les déclarations du Maire de Thiès, Idrissa Seck, lors de son voyage aux Etats Unis devant ses militants n’ont pas plu au chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade. En effet, ce dernier est très remonté contre son ancien Premier Ministre. Il a même décidé de ne plus lui confier le poste de Directeur de campagne pour l’élection présidentielle de 2012. «Le Président nous a manifesté qu’il n’est pas content, avant de nous dire qu’il a finalement abandonné l’idée de faire du maire de Thiès son directeur de campagne nationale pour la présidentielle de 2012» a révélé une des sources de nos confrères du journal l’Observateur.
Selon toujours ces informateurs de nos confrères, le Président de la République était en train de réfléchir sur deux profils: Idrissa Seck et Me Souleymane Ndéné Ndiaye pour conduire sa campagne lors de la prochaine présidentielle.
Les raisons de la colère de Me Wade seraient liées aux propos que le Maire de Thiès aurait tenus aux Etats Unis.
pressafrik.com