La Bourse de New York a clôturé en net repli mercredi, le Dow Jones finissant à son plus bas niveau depuis fin juillet en raison de la nouvelle flambée de la pandémie de coronavirus dans le monde et des incertitudes sur les résultats de l’élection américaine du 3 novembre prochain.
Outre la pandémie, l’incapacité de Washington à conclure un accords sur un plan de relance économique a entraîné la chute de plus de 3% de tous les grands indices.
L’indice Dow Jones a cédé ainsi 3,43% à 26.519,95 points, le S&P-500, plus large, 3,53% à 3 271,03 points et le Nasdaq Composite 3,73% à 11.004,87 points.
L’indice du CBOE qui mesure la volatilité implicite du S&P-500 grimpe à 40,28 points, son plus haut depuis le 11 juin.
En dehors de la situation inquiétante de l’épidémie aux Etats-Unis, l’Europe inquiète également les investisseurs alors que la France et l’Allemagne ont annoncé mercredi des mesures de reconfinement.
“De toute évidence, le virus est hors de contrôle. Il progresse, c’est mauvais”, a déclaré Eric Kuby, directeur des investissements chez North Star Investment Management Corp à Chicago. “L’idée selon laquelle (...) il va juste disparaître ne tient pas la route.”
Les secteurs les plus impactés par le virus, comme l’hôtellerie, les loisirs et le transport aérien, se sont effondrés, tout comme celui des valeurs pétrolières.
Les grandes techs emblématiques comme Apple, Alphabet, Amazon et Facebook - qui doivent publier leurs résultats jeudi - ont toutes perdu au moins 3%, pesant ainsi fortement sur le S&P 500. (Reuters)
Outre la pandémie, l’incapacité de Washington à conclure un accords sur un plan de relance économique a entraîné la chute de plus de 3% de tous les grands indices.
L’indice Dow Jones a cédé ainsi 3,43% à 26.519,95 points, le S&P-500, plus large, 3,53% à 3 271,03 points et le Nasdaq Composite 3,73% à 11.004,87 points.
L’indice du CBOE qui mesure la volatilité implicite du S&P-500 grimpe à 40,28 points, son plus haut depuis le 11 juin.
En dehors de la situation inquiétante de l’épidémie aux Etats-Unis, l’Europe inquiète également les investisseurs alors que la France et l’Allemagne ont annoncé mercredi des mesures de reconfinement.
“De toute évidence, le virus est hors de contrôle. Il progresse, c’est mauvais”, a déclaré Eric Kuby, directeur des investissements chez North Star Investment Management Corp à Chicago. “L’idée selon laquelle (...) il va juste disparaître ne tient pas la route.”
Les secteurs les plus impactés par le virus, comme l’hôtellerie, les loisirs et le transport aérien, se sont effondrés, tout comme celui des valeurs pétrolières.
Les grandes techs emblématiques comme Apple, Alphabet, Amazon et Facebook - qui doivent publier leurs résultats jeudi - ont toutes perdu au moins 3%, pesant ainsi fortement sur le S&P 500. (Reuters)
Source : https://www.impact.sn/Wall-Street-finit-a-son-plus...