L’entretien de Wally Seck accordé à Bouba Ndour dans « Un Tour Avec », a été riche d’anecdotes. Son style de Mbalakh, il n’y a que lui qui le possède et il laisse ses musiciens s’exprimer comme ils le sentent. Mais lui, même quand il est dans les toilettes, l’inspiration peut lui venir…
Ses relations avec les musiciens de sa génération ? « Ce sont des frères et sœurs. Chacun à son propre public, pas de tiraillement car le comportement passe avant », assure-t-il
Son rêve est décrocher des Grammy parce des disques d’or ses devanciers comme Youssou Ndour, Coumba Gawlo, Baba Maal en ont remportés. Pour y arriver, il doit travailler au studio tout le temps mais même à la maison, il s’adonne à la chanson, car il y détient un autre studio musical. C’est pourquoi, il détient d’ailleurs en stock beaucoup de surprises.
A la question « Comment gérer une carrière à la fois locale et internationale ? », il reconnaît que vendre le Mbalakh est une tâche ardue, c’est pourquoi à l’international, il est obligé de réduire les percussions, parce que l’appréciation n’est pas la même au Sénégal qu’ailleurs. C’est pourquoi il y rajoute une couche de World music, retouche le style emprunté un peu du Nigéria, du Cameroun ou de la Rumba, et d’autres…
« La chanson, ce sont des paroles diluées de sucre et un chanteur est un messager », a-t-il confié
Ses relations avec les musiciens de sa génération ? « Ce sont des frères et sœurs. Chacun à son propre public, pas de tiraillement car le comportement passe avant », assure-t-il
Son rêve est décrocher des Grammy parce des disques d’or ses devanciers comme Youssou Ndour, Coumba Gawlo, Baba Maal en ont remportés. Pour y arriver, il doit travailler au studio tout le temps mais même à la maison, il s’adonne à la chanson, car il y détient un autre studio musical. C’est pourquoi, il détient d’ailleurs en stock beaucoup de surprises.
A la question « Comment gérer une carrière à la fois locale et internationale ? », il reconnaît que vendre le Mbalakh est une tâche ardue, c’est pourquoi à l’international, il est obligé de réduire les percussions, parce que l’appréciation n’est pas la même au Sénégal qu’ailleurs. C’est pourquoi il y rajoute une couche de World music, retouche le style emprunté un peu du Nigéria, du Cameroun ou de la Rumba, et d’autres…
« La chanson, ce sont des paroles diluées de sucre et un chanteur est un messager », a-t-il confié