L'histoire on la connait déjà. Avant de suivre un destin identique à celui de son père, Waly Ballago Seck était à un doigt de poursuivre une carrière professionnelle. Le fils de Thione a même été au Milan Ac. Waly Seck revient sur cet épisode de sa vie dans La Tribune.
"J'ai fait huit mois au Milan. J'étais professionnel. On m'appelait Zidane. J'étais vraiment un bon numéro 10", a confié Waly. Sa carrière dans le monde du football a été éphémère, mais il assure que ce n'était pas du tout par manque de talent. "C'est difficile de réussir dans le haut niveau. Pour être dans un grand club comme Milan, il fallait être trois fois supérieur aux Blancs. En plus, j'ai été freiné par une blessure au pied, déclare-t-il. A chaque fois que le froid arrivait, ma jambe droite enflait. A un moment donné, je me suis dit pourquoi pas arrêter et penser à autre chose".
Le rêve s’est arrêté là. La suite on la connait. Mais Waly ne regrette rien. "J'aimais trop l'argent. Et pour moi, la réussite au football pouvait me prendre un peu de temps. Donc le choix était vite fait". C'était donc suivre les pas de son paternel Ballago dans la musique.
"J'ai fait huit mois au Milan. J'étais professionnel. On m'appelait Zidane. J'étais vraiment un bon numéro 10", a confié Waly. Sa carrière dans le monde du football a été éphémère, mais il assure que ce n'était pas du tout par manque de talent. "C'est difficile de réussir dans le haut niveau. Pour être dans un grand club comme Milan, il fallait être trois fois supérieur aux Blancs. En plus, j'ai été freiné par une blessure au pied, déclare-t-il. A chaque fois que le froid arrivait, ma jambe droite enflait. A un moment donné, je me suis dit pourquoi pas arrêter et penser à autre chose".
Le rêve s’est arrêté là. La suite on la connait. Mais Waly ne regrette rien. "J'aimais trop l'argent. Et pour moi, la réussite au football pouvait me prendre un peu de temps. Donc le choix était vite fait". C'était donc suivre les pas de son paternel Ballago dans la musique.