Au total, 11 dirigeants hongkongais sont dans le collimateur de Washington. En tête de cette liste, la cheffe de l’exécutif Carrie Lam qui avait défendu la loi sur la sécurité nationale, imposée par la Chine, comme un outil crucial pour mettre fin au chaos dans l'ancienne colonie britannique.
Parmi les responsables visés également, les chefs de la police, le secrétaire à la sécurité et celui à la justice. Tous sont accusés d’aider la Chine à restreindre l’autonomie du territoire et à limiter les libertés de ses habitants. « Des actes inacceptables », souligne Steve Mnuchin. Le secrétaire américain au Trésor a précisé que ces nouvelles sanctions prévoient notamment la saisie des biens des dirigeants hongkongais aux États-Unis.
Ultimatum à TikTok et WeChat
C’est la permière fois que Washington vise directement les responsables de l’ancien territoire britannique. Un durcissement de ton et une escalade de plus dans les tensions qui opposent les États-Unis et la Chine. Jeudi déjà, le président Trump avait signé un décret fixant un ultimatum à TikTok et WeChat, deux applications détenus par des entreprises chinoises. Elles pourraient être interdites dans 45 jours à moins d’être rachetées par des entreprises américaines.
Rfi
Parmi les responsables visés également, les chefs de la police, le secrétaire à la sécurité et celui à la justice. Tous sont accusés d’aider la Chine à restreindre l’autonomie du territoire et à limiter les libertés de ses habitants. « Des actes inacceptables », souligne Steve Mnuchin. Le secrétaire américain au Trésor a précisé que ces nouvelles sanctions prévoient notamment la saisie des biens des dirigeants hongkongais aux États-Unis.
Ultimatum à TikTok et WeChat
C’est la permière fois que Washington vise directement les responsables de l’ancien territoire britannique. Un durcissement de ton et une escalade de plus dans les tensions qui opposent les États-Unis et la Chine. Jeudi déjà, le président Trump avait signé un décret fixant un ultimatum à TikTok et WeChat, deux applications détenus par des entreprises chinoises. Elles pourraient être interdites dans 45 jours à moins d’être rachetées par des entreprises américaines.
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