Deux semaines après que les habitants des régions de Keimoes et d’Upington dans le Cap Nord ont juré d’expulser les Nigérians et autres étrangers de leurs communautés, les habitants de la région de Diepsloot à Johannesburg ont commencé à attaquer les ressortissants d’autres pays.
De nouvelles attaques contre les étrangers ont commencé mercredi soir mais ont été stoppées par la police. Cependant, jeudi, certains Sud-Africains ont détruit des propriétés, exigeant le départ des étrangers.
Le président de l’Association des Nigérians en Afrique du Sud, Adetola Olubajo, a confirmé l’attaque dans une déclaration envoyée au site d’information SaharaReporters.
Il a souligné que la population locale n’était pas prête à reculer face aux attaques contre les étrangers. « Des résidents en colère ont commencé à brûler des pneus et à chanter que les étrangers doivent quitter la région. L’intervention de la police a apporté le calme mais les violences ont éclaté à nouveau ce matin. »
« Les membres de la communauté veulent que les étrangers sans papiers quittent la région. Ils accusent les étrangers d’activités criminelles et du meurtre d’un officier de police. Bien qu’il y ait une forte présence policière dans la zone, les résidents locaux sont déterminés », a-t-il ajouté.
De nouvelles attaques contre les étrangers ont commencé mercredi soir mais ont été stoppées par la police. Cependant, jeudi, certains Sud-Africains ont détruit des propriétés, exigeant le départ des étrangers.
Le président de l’Association des Nigérians en Afrique du Sud, Adetola Olubajo, a confirmé l’attaque dans une déclaration envoyée au site d’information SaharaReporters.
Il a souligné que la population locale n’était pas prête à reculer face aux attaques contre les étrangers. « Des résidents en colère ont commencé à brûler des pneus et à chanter que les étrangers doivent quitter la région. L’intervention de la police a apporté le calme mais les violences ont éclaté à nouveau ce matin. »
« Les membres de la communauté veulent que les étrangers sans papiers quittent la région. Ils accusent les étrangers d’activités criminelles et du meurtre d’un officier de police. Bien qu’il y ait une forte présence policière dans la zone, les résidents locaux sont déterminés », a-t-il ajouté.