"Je vais paraphraser un monsieur qui s'appelle Chuck D, l'un des fondateur du "Public Enemy" (l'un des premier groupe de rap), qui disait que "le rap est le CNN de la route", c'est aussi simple que ça. Moi, dans mon entendement, tout ce qui est parlé peut être rappé. Si aujourd'hui des rappeurs se permettent de donner des nouvelles avec ce concept Jtr, c'est parce que, c'est ce que l'on a toujours fait. La seule différence est qu'on utilise de nos jours de nouvelles technologies. On a le web, on a les réseaux sociaux pour se permettre cela. Il fut des temps où les gens fonctionnaient avec les cassettes, il fallait enregistrer puis attendre que ça sorte pour avoir l'analyse d'une situation. Mais, maintenant on est au stade où l'on est obligé de suivre l'évolution technologique, on écrit au jour le jour, on enregistre et en fin de semaine, on poste, on fait le montage et puis boum! Dans la semaine d'après, c'est disponible sur le net et également à la télé. Parce que c'est comme ça que le monde a évolué. Peut-être que dans quelques années, on pourra assister au journal rappé quotidien, qu'on puisse avoir de la météo, le journal sportif et d'autres déclinaisons. Comment les choses vont évoluer, on ne sait pas trop. Et puis, on n'aura peut-être pas d'autres personnes qui vont venir renforcer l'équipe. C'est possible avec le temps, nous, en le faisant, on s'est dit qu'il fallait le faire et voir comment ça allait réagir. Nous, avec le produit fini, on était satisfait du premier résultat. Après avec le buzz que cela a fait, ça nous a confortés dans notre décision de continuer à le faire", a déclaré Xuman.
"Nous n'avons pas été les premiers à faire le journal rappé. C'est en France que cela a commencé avec Derka. C'est le plus connu de ceux qui l'ont fait avant nous. Il y a quelqu'un qui est en Australie qui l'a fait bien avant Derka. Toujours est-il que l'idée est venue de Xuman qui m'a fait part de son projet. On habite le même quartier. Je l'ai trouvé assez excitant et puis on a commencé à travailler dessus. Parce que moi personnellement, ce que je cherche dans un projet, ce sont deux choses: d'abord m'amuser à le faire, ensuite me dire que financièrement, cela peut marcher", a confié Keyti.
"Nous n'avons pas été les premiers à faire le journal rappé. C'est en France que cela a commencé avec Derka. C'est le plus connu de ceux qui l'ont fait avant nous. Il y a quelqu'un qui est en Australie qui l'a fait bien avant Derka. Toujours est-il que l'idée est venue de Xuman qui m'a fait part de son projet. On habite le même quartier. Je l'ai trouvé assez excitant et puis on a commencé à travailler dessus. Parce que moi personnellement, ce que je cherche dans un projet, ce sont deux choses: d'abord m'amuser à le faire, ensuite me dire que financièrement, cela peut marcher", a confié Keyti.