Lorsqu'ils débutaient dans l'arène, ils n'avaient pas le profil qu'ils ont aujourd'hui. Décharnés avec en bandoulière une technique pas trop sûre, ces champions ont tout de même évolué dans un monde qu'ils ont appris à connaître et à dompter. Yakhya Diop, l'actuel Roi des arènes, lorsqu'il pratiquait la lutte simple et faisait des merveilles dans l'arène, avoisinait les 80 kg. Quant à Balla Gaye 2, Lac 2 et Modou Lô, ils n'étaient vraiment pas extraordinaires et peinaient à avoir 80 kg.
Evoluer et réussir dans un domaine, demande une connaissance de ce milieu pour faire siens ses secrets les plus profonds. S'imprégner de ses lois et principes. C'est ce que ces champions ont su faire. Leur quotidien fait d'entraînements avec des contacts physiques entre membres d'écurie, salle de gym et relaxation, quoi de plus normal qu'ils se métamorphosent au bout de quelques années. Le seul secret du sport où ils excellent, c'est le respect des entraînements, même si certains font allusion à la prise de protéines. Le sérieux et la régularité aux entraînements, et les exigences du sport de haut niveau sont telles que rien n'est laissé au hasard. A voir Yékini souffrir sous les poids lors de la préparation de son précédent combat contre Bombardier, est révélateur du don de soi que ces athlètes font tous les jours pour repousser plus loin les limites de l'impossible. «Je pars en Amérique pour chercher de la force», avait fait savoir Balla Gaye 2 lorsqu'il préparait son choc contre Tyson. Le fils de Double Less a par la suite fait savoir qu'il y soulevait des charges de 600 kg. Travailler à ce rythme, quoi de plus normal pour se forger une silhouette et «athlétiser» le corps.
Pour les mastodontes qu'ils sont devenus aujourd'hui, Yékini, Balla Gaye 2, Lac 2, Modou Lô et bien d'autres ont travaillé dur et sans cesse pour répondre à l'exigence du sport de haut niveau. S'il est important qu'un jockey pour réussir, surveille son poids de prés pour ne pas trop grossir et devenir lourd, il est aussi important qu'un lutteur travaille son physique pour être le vrai gladiateur dont l'arène a besoin. Le constat est là, Balla Gaye 2, Yékini, Lac de Guiers 2 et Modou Lô se sont métamorphosés en prenant jusqu'à 50 kg supplémentaires. Comme vous pouvez le constater sur les photos,
SOURCE : Sunu Lamb Mamadou KONE
Evoluer et réussir dans un domaine, demande une connaissance de ce milieu pour faire siens ses secrets les plus profonds. S'imprégner de ses lois et principes. C'est ce que ces champions ont su faire. Leur quotidien fait d'entraînements avec des contacts physiques entre membres d'écurie, salle de gym et relaxation, quoi de plus normal qu'ils se métamorphosent au bout de quelques années. Le seul secret du sport où ils excellent, c'est le respect des entraînements, même si certains font allusion à la prise de protéines. Le sérieux et la régularité aux entraînements, et les exigences du sport de haut niveau sont telles que rien n'est laissé au hasard. A voir Yékini souffrir sous les poids lors de la préparation de son précédent combat contre Bombardier, est révélateur du don de soi que ces athlètes font tous les jours pour repousser plus loin les limites de l'impossible. «Je pars en Amérique pour chercher de la force», avait fait savoir Balla Gaye 2 lorsqu'il préparait son choc contre Tyson. Le fils de Double Less a par la suite fait savoir qu'il y soulevait des charges de 600 kg. Travailler à ce rythme, quoi de plus normal pour se forger une silhouette et «athlétiser» le corps.
Pour les mastodontes qu'ils sont devenus aujourd'hui, Yékini, Balla Gaye 2, Lac 2, Modou Lô et bien d'autres ont travaillé dur et sans cesse pour répondre à l'exigence du sport de haut niveau. S'il est important qu'un jockey pour réussir, surveille son poids de prés pour ne pas trop grossir et devenir lourd, il est aussi important qu'un lutteur travaille son physique pour être le vrai gladiateur dont l'arène a besoin. Le constat est là, Balla Gaye 2, Yékini, Lac de Guiers 2 et Modou Lô se sont métamorphosés en prenant jusqu'à 50 kg supplémentaires. Comme vous pouvez le constater sur les photos,
SOURCE : Sunu Lamb Mamadou KONE