Yacine Ndiaye alias « Ma puce » n’a pas joué dans la série "Ndogou Li" dont la première diffusion est prévue ce jeudi. Si la comédienne n’a pas participée au tournage, il y a bien une raison. D’après elle, c’est parce qu’elle a été « victime d'un chantage » de la part de Mamadou Bitèye. « Le journaliste-réalisateur m’a demandé des faveurs sexuelles qu’il n’a pas obtenues », a-t-elle confié. L'actrice principale de « Azou le beau » ajoute que depuis qu’elle a rejeté les offres du réalisateur, ce dernier ne cesse de lui mener la vie dure. « Il m’a promis de me rendre la vie difficile et de briser ma carrière d’artiste ». Pourtant, selon elle, les choses se sont normalement bien déroulées pour sa première participation au sketch. « On avait correctement travaillé en équipe pour réussir la première édition du téléfilm « Ndogou li ». Mais, cette année, dit-elle, le réalisateur à tout gâché en faisant dans le chantage, chose qui ne passe pas avec elle.
Enfonçant le clou, la comédienne confie, à La Tribune, que le même journaliste, qui lui a proposé une « promotion canapé », la suit partout pour lui mettre des bâtons dans les roues. « Lorsque j’ai été récemment contactée par les responsables d’une t télévision privée pour des émissions, le réalisateur de « Ndogou li » s’est précipité auprès de ces gens pour salir ma réputation et faire échec a ce projet », déclare Yacine Ndiaye. « Avec un réalisateur qui a fini de me faire comprendre que je ne peux rien obtenir à Walf sans passer par lui, j’’ai cru bon porter ma cause devant les responsables de la maison », a-t-elle poursuivi.
Enfonçant le clou, la comédienne confie, à La Tribune, que le même journaliste, qui lui a proposé une « promotion canapé », la suit partout pour lui mettre des bâtons dans les roues. « Lorsque j’ai été récemment contactée par les responsables d’une t télévision privée pour des émissions, le réalisateur de « Ndogou li » s’est précipité auprès de ces gens pour salir ma réputation et faire échec a ce projet », déclare Yacine Ndiaye. « Avec un réalisateur qui a fini de me faire comprendre que je ne peux rien obtenir à Walf sans passer par lui, j’’ai cru bon porter ma cause devant les responsables de la maison », a-t-elle poursuivi.