D’un air très sérieux, il demande à l’opposition d’arrêter les attaques parfois «injurieuses» à l’encontre du chef de l’Etat. «Il faut qu’on arrête d’insulter et de dire n’importe quoi sur le Président», déclare-t-il. Pour lui, Macky Sall est un homme de paix. Raison pour laquelle, assure-t-il, sans sourciller : «Qui insulte Macky Sall ira en enfer, c’est le Coran qui le dit.»
Faisant allusion à Idrissa Seck, Youssou Touré a déclaré qu’on ne peut pas faire acte d’allégeance auprès d’un marabout pour sortir insulter et injurier. Avant de poursuivre sur sa lancée : «Un tricheur est incapable de dire du bien sur quelqu’un.»
Par ailleurs, Youssou Touré a expliqué que si le Sénégal garde toujours sa stabilité, c’est parce qu’il y a de grands hommes qui ont prié pour ce pays. Par conséquent, indique-t-il, il faut que les gens arrêtent de chercher à déstabiliser le pays. «Senghor a gouverné le pays avec stabilité, Abdou Diouf aussi. Wade, malgré ses quelques dérapages à la fin de son mandat, a gouverné le pays. Donc, ce n’est pas aujourd’hui qu’on mettra ce pays en feu. On ne veut pas que ce qui s’est passé le 23 juin se répète. Donc la grande question, ce n’est ni l’article 80 ou 1 000, ça nous intéresse à peine, mais c’est plutôt un dialogue entre le pouvoir et l’opposition», dit-il.
Lequotidien
Faisant allusion à Idrissa Seck, Youssou Touré a déclaré qu’on ne peut pas faire acte d’allégeance auprès d’un marabout pour sortir insulter et injurier. Avant de poursuivre sur sa lancée : «Un tricheur est incapable de dire du bien sur quelqu’un.»
Par ailleurs, Youssou Touré a expliqué que si le Sénégal garde toujours sa stabilité, c’est parce qu’il y a de grands hommes qui ont prié pour ce pays. Par conséquent, indique-t-il, il faut que les gens arrêtent de chercher à déstabiliser le pays. «Senghor a gouverné le pays avec stabilité, Abdou Diouf aussi. Wade, malgré ses quelques dérapages à la fin de son mandat, a gouverné le pays. Donc, ce n’est pas aujourd’hui qu’on mettra ce pays en feu. On ne veut pas que ce qui s’est passé le 23 juin se répète. Donc la grande question, ce n’est ni l’article 80 ou 1 000, ça nous intéresse à peine, mais c’est plutôt un dialogue entre le pouvoir et l’opposition», dit-il.
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