‘’La commande publique (qui représente 15 %) peut être un levier important pour la promotion des entreprises dans le secteur des bâtiments et travaux publics’’ a-t-il dit lors d’une conférence sur ‘’l’impact du nouveau code des marchés publics sur la performance des entreprises du BTP au Sénégal’’ organisée au Cesag.
Mais cette promotion ne pourra se faire qu’à condition que ‘’les modalités de son exécution soient en conformité avec les principes fondamentaux que sont les libres accès pour les candidats, l’égalité dans le traitement des candidats et la transparence des procédures’’, a précisé l’ancien directeur général de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP).
‘’Le Sénégal, selon Youssouf Sakho, fait partie des premiers pays (de la sous-région) à avoir institué des fonds routiers’’ avec le financement de la route Dakar-Rufisque.
En matière de bâtiments et travaux publics, ‘’il n y avait pas, autrefois, dans le Code des marchés un système de régulation et de contrôle, ce qui faisait qu’aucune structure de contrôle ne venait demander des comptes aux entreprises’’.
A cela s’ajoute, selon Sakho, l’absence d’un dispositif de formation des acteurs des entreprises en matière d’appels d’offres, entre autres. ‘’Aujourd’hui, on peut dire que le Code des marchés publics est devenu un véritable pilier pour le marché sénégalais’’, a-t-il dit.
Toutefois, il juge que tout n’est pas ‘’rose dans le nouveau code’’.
‘’Il y a des points à améliorer car les entreprises ont eu durant ces dernières années des difficultés financières qui leur ont valu des endettements involontaires. Un très grand nombre de candidats n’ont pas pu faire partie des appels d’offres’’, a-t-il souligné.
‘’Il est donc urgent, selon Youssouf Sakho, d’inciter les autorités à mettre les entreprises en conformité avec les appels d’offres. Afin que les critères de qualification soient rigoureusement compatibles et accessibles à un nombre de candidats suffisants pour soutenir la concurrence’’.
SK/OID
Mais cette promotion ne pourra se faire qu’à condition que ‘’les modalités de son exécution soient en conformité avec les principes fondamentaux que sont les libres accès pour les candidats, l’égalité dans le traitement des candidats et la transparence des procédures’’, a précisé l’ancien directeur général de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP).
‘’Le Sénégal, selon Youssouf Sakho, fait partie des premiers pays (de la sous-région) à avoir institué des fonds routiers’’ avec le financement de la route Dakar-Rufisque.
En matière de bâtiments et travaux publics, ‘’il n y avait pas, autrefois, dans le Code des marchés un système de régulation et de contrôle, ce qui faisait qu’aucune structure de contrôle ne venait demander des comptes aux entreprises’’.
A cela s’ajoute, selon Sakho, l’absence d’un dispositif de formation des acteurs des entreprises en matière d’appels d’offres, entre autres. ‘’Aujourd’hui, on peut dire que le Code des marchés publics est devenu un véritable pilier pour le marché sénégalais’’, a-t-il dit.
Toutefois, il juge que tout n’est pas ‘’rose dans le nouveau code’’.
‘’Il y a des points à améliorer car les entreprises ont eu durant ces dernières années des difficultés financières qui leur ont valu des endettements involontaires. Un très grand nombre de candidats n’ont pas pu faire partie des appels d’offres’’, a-t-il souligné.
‘’Il est donc urgent, selon Youssouf Sakho, d’inciter les autorités à mettre les entreprises en conformité avec les appels d’offres. Afin que les critères de qualification soient rigoureusement compatibles et accessibles à un nombre de candidats suffisants pour soutenir la concurrence’’.
SK/OID