Il a fait l’annonce lors du lancement d’une campagne de lutte contre le VIH dans la capitale Lusaka. Il a déclaré : « De la même manière que nous ne demandons pas votre avis pour le test contre le paludisme, nous allons vous faire dépister pour le VIH et nous allons vous donner des conseils, s’il s’avère que le résultat est positif pour que vous puissiez commencer le traitement ».
« Je dois avouer qu’il y avait des collègues qui ont estimé que cette politique porterait atteinte aux droits de l’homme, mais alors, personne n’a le droit d’ôter la vie de quelqu’un », a-t-il ajouté.
Le président Lungu a également lancé la Journée de dépistage, de conseil et de traitement du VIH qui sera observée dans tout le pays, pour aider à mettre fin au SIDA dans le pays. Ce programme entre dans le cadre de son objectif qui vise à éradiquer cette maladie d’ici 2030.
Dans plusieurs pays, les adultes ont le droit de refuser des tests médicaux ou les traitements pour quelque raison que ce soit. Les médecins sont également tenus d’obtenir le consentement des patients avant de faire les dépistages, discuter des options de traitement avec des termes compréhensibles et respecter les choix de leurs patients.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’ONUSIDA s’opposent également au dépistage obligatoire du VIH et encourage les conseils et les tests volontaires.
Afrikmag
« Je dois avouer qu’il y avait des collègues qui ont estimé que cette politique porterait atteinte aux droits de l’homme, mais alors, personne n’a le droit d’ôter la vie de quelqu’un », a-t-il ajouté.
Le président Lungu a également lancé la Journée de dépistage, de conseil et de traitement du VIH qui sera observée dans tout le pays, pour aider à mettre fin au SIDA dans le pays. Ce programme entre dans le cadre de son objectif qui vise à éradiquer cette maladie d’ici 2030.
Dans plusieurs pays, les adultes ont le droit de refuser des tests médicaux ou les traitements pour quelque raison que ce soit. Les médecins sont également tenus d’obtenir le consentement des patients avant de faire les dépistages, discuter des options de traitement avec des termes compréhensibles et respecter les choix de leurs patients.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’ONUSIDA s’opposent également au dépistage obligatoire du VIH et encourage les conseils et les tests volontaires.
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