Source : APS
Les déplacés viennent des villages de Diabir et de Barafe, situés non loin de la ‘’capitale du Sud’’ et près desquels des incidents opposent les deux parties depuis quelques jours.
Vendredi, des tirs à l’arme lourde avaient été entendus peu avant 8 heures depuis la zone périphérique de Diabir, occasionnant une grosse frayeur chez les habitants des quartiers environnants. L’avion militaire, ‘’le Rallye guerrier’’, a survolé la zone et le calme est revenu à Ziguinchor.
Les évènements de vendredi pourraient être la riposte de l’armée à l’attaque qu’elle a subie jeudi vers 15 heures à Diabir, d’éléments supposés appartenir au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC), qui ont occasionné la mort d’un militaire. Ce dernier a succombé à ses blessures, après avoir été évacué à l’hôpital régional de Ziguinchor.
La spirale attaque-riposte entre l’armée et les combattants du mouvement rebelle, semble de retour après quelques années d’accalmie. Les 21 et 25 août, des combats ont opposé l’armée à des éléments du MFDC. Lors de la dernière confrontation, des tirs avaient atteint l’Université de Ziguinchor sans faire de victimes.
Dans un communiqué rendu public mercredi et signé de César Atoute Badiate, son chef, Atika, la branche armée du mouvement séparatiste, explique ‘’les évènements du 21 août’’ par une ‘’riposte à une attaque’’ des militaires qui ‘’ont tiré sur (leurs) éléments venus vendredi vendre leurs fruits à Kassana, village situé à une dizaine de kilomètres des positions de l’armée’’.
Dans le même texte, Atika ‘’dénonce un boycott du processus de paix en Casamance par le gouvernement du Sénégal’’. Le communiqué ajoute : ‘’Si l’on se souvient bien, Atika a cessé ses activités guerrières pour prétendre trouver une solution négociée à la crise casamançaise, contrairement à la décision du Sénégal qui opte pour la résolution de la crise par la force’’.
Les déplacés viennent des villages de Diabir et de Barafe, situés non loin de la ‘’capitale du Sud’’ et près desquels des incidents opposent les deux parties depuis quelques jours.
Vendredi, des tirs à l’arme lourde avaient été entendus peu avant 8 heures depuis la zone périphérique de Diabir, occasionnant une grosse frayeur chez les habitants des quartiers environnants. L’avion militaire, ‘’le Rallye guerrier’’, a survolé la zone et le calme est revenu à Ziguinchor.
Les évènements de vendredi pourraient être la riposte de l’armée à l’attaque qu’elle a subie jeudi vers 15 heures à Diabir, d’éléments supposés appartenir au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC), qui ont occasionné la mort d’un militaire. Ce dernier a succombé à ses blessures, après avoir été évacué à l’hôpital régional de Ziguinchor.
La spirale attaque-riposte entre l’armée et les combattants du mouvement rebelle, semble de retour après quelques années d’accalmie. Les 21 et 25 août, des combats ont opposé l’armée à des éléments du MFDC. Lors de la dernière confrontation, des tirs avaient atteint l’Université de Ziguinchor sans faire de victimes.
Dans un communiqué rendu public mercredi et signé de César Atoute Badiate, son chef, Atika, la branche armée du mouvement séparatiste, explique ‘’les évènements du 21 août’’ par une ‘’riposte à une attaque’’ des militaires qui ‘’ont tiré sur (leurs) éléments venus vendredi vendre leurs fruits à Kassana, village situé à une dizaine de kilomètres des positions de l’armée’’.
Dans le même texte, Atika ‘’dénonce un boycott du processus de paix en Casamance par le gouvernement du Sénégal’’. Le communiqué ajoute : ‘’Si l’on se souvient bien, Atika a cessé ses activités guerrières pour prétendre trouver une solution négociée à la crise casamançaise, contrairement à la décision du Sénégal qui opte pour la résolution de la crise par la force’’.