Le 17 juin dernier, malgré l’interdiction et le cordon sécuritaire mis en place par les forces de défense et de sécurité, Guy Marius Sagna et certains manifestants étaient parvenus à braver ledit refus de l’autorité préfectorale. La manifestation interdite avait fait 2 morts au sud du pays, dont 1 à Ziguinchor et un autre à Bignona.
À titre illustratif, Guy Marius Sagna citera l’exemple de la femme afro-américaine, Rosa Parks, qui a refusé de céder sa place à un Blanc, en lutte contre l’Apartheid au États-Unis
En effet, le 1er décembre 1955, à Montgomery, en Alabama, dans le Sud profond, Rosa Parks, couturière de quarante-deux ans, s’est, en effet, assise. Elle a, plus exactement, refusé de se lever pour céder la place à un Blanc.
Une position qui tranche net avec celle de ses camarades leaders de Yewwi Askan Wi, arrêtés dans la foulée de la manifestation du 17 juin, qui ont tous récusé les délits de participation à manifestation interdite qui leur avaient été collés par le procureur.
Pour rappel, Guy Marius Sagna avait été interpellé au moment où il s’était rendu au Commissariat central de Ziguinchor. C’était le lendemain de la manifestation interdite qui a fait 2 morts, dont 1 à Ziguinchor et l’autre à Bignona, pour s’enquérir de l’état de ses camarades manifestants interpellés la veille.
sudqutidien.sn
À titre illustratif, Guy Marius Sagna citera l’exemple de la femme afro-américaine, Rosa Parks, qui a refusé de céder sa place à un Blanc, en lutte contre l’Apartheid au États-Unis
En effet, le 1er décembre 1955, à Montgomery, en Alabama, dans le Sud profond, Rosa Parks, couturière de quarante-deux ans, s’est, en effet, assise. Elle a, plus exactement, refusé de se lever pour céder la place à un Blanc.
Une position qui tranche net avec celle de ses camarades leaders de Yewwi Askan Wi, arrêtés dans la foulée de la manifestation du 17 juin, qui ont tous récusé les délits de participation à manifestation interdite qui leur avaient été collés par le procureur.
Pour rappel, Guy Marius Sagna avait été interpellé au moment où il s’était rendu au Commissariat central de Ziguinchor. C’était le lendemain de la manifestation interdite qui a fait 2 morts, dont 1 à Ziguinchor et l’autre à Bignona, pour s’enquérir de l’état de ses camarades manifestants interpellés la veille.
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