L’inflation en glissement annuel qui est de 2,5% en janvier 2025, découle principalement, du renchérissement des prix des « produits alimentaires et boissons non alcoolisées » (5,8%), des « boissons alcoolisées, tabacs et stupéfiants » (4,0%), des « soins personnels, protection sociale et biens divers » (1,5%), des « vêtements et chaussures » (1,4%), de la « santé » (1,4%) et des « services d’enseignement » (1,2%).
Source : https://www.lejecos.com/Zone-Uemoa-L-inflation-en-...

Selon un rapport sur l’Indice harmonisé des prix à la consommation (Ihpc), au niveau des Etats membres de l’UEMOA, le taux d’inflation sur un an par ordre décroissant se présente comme suit : Mali (7,6%), Guinée-Bissau (5,4%), Niger (4,2%), Togo (2,2%), Sénégal (1,8%), Côte d’Ivoire (1,7%), Burkina Faso (1,5%) et Bénin (0,6%).
En janvier 2025, renseigne la même source, le niveau général des prix s’est établi à 103,3, soit une baisse de 0,4% sur un mois. Cette évolution fait suite au recul du niveau global des prix dans les Etats membres suivants : le Burkina Faso (-1,9%), la Côte d’Ivoire (-1,2%) et le Niger (-0,3%).
Ces baisses du niveau des prix contrastent avec les hausses observées au Bénin (0,3%), en Guinée-Bissau (0,3%), au Togo (0,6%), au Sénégal (1,1%) et au Mali (2,1%). Cette variation mensuelle du niveau général des prix de l’Union fait suite à la baisse des prix des « restaurants et services d’hébergement » (-3,5%), des « ameublement, équipement ménager et entretien courant du ménage » (-1,9%), de la « santé » (-1,7%), des « boissons alcoolisées tabacs et stupéfiants » (-1,4%), des « loisirs, sport et culture » (-1,3%) et du « logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles » (-1,2%).
Selon le document, en examinant la nomenclature secondaire, il apparaît que l’inflation en glissement annuel de l’espace UEMOA est portée principalement par la variation des prix des produits frais (6,4%), et par celle des prix des produits les moins volatiles du panier Ihpc (1,3%).
Au regard de l’origine des produits, la hausse est ressortie essentiellement au niveau des produits locaux (3,3%). Au regard du secteur de production des biens et services, l’inflation en janvier 2025 provient des hausses de prix des produits du secteur primaire (7,8%) et dans une moindre mesure du secteur secondaire (1,3%) et du tertiaire (0,6%).
Selon la durabilité des biens, l’inflation découle essentiellement des biens non durables (4,8%), puis des biens semi durables (1,8%) et des biens durables (1,8%).
Adou Faye
En janvier 2025, renseigne la même source, le niveau général des prix s’est établi à 103,3, soit une baisse de 0,4% sur un mois. Cette évolution fait suite au recul du niveau global des prix dans les Etats membres suivants : le Burkina Faso (-1,9%), la Côte d’Ivoire (-1,2%) et le Niger (-0,3%).
Ces baisses du niveau des prix contrastent avec les hausses observées au Bénin (0,3%), en Guinée-Bissau (0,3%), au Togo (0,6%), au Sénégal (1,1%) et au Mali (2,1%). Cette variation mensuelle du niveau général des prix de l’Union fait suite à la baisse des prix des « restaurants et services d’hébergement » (-3,5%), des « ameublement, équipement ménager et entretien courant du ménage » (-1,9%), de la « santé » (-1,7%), des « boissons alcoolisées tabacs et stupéfiants » (-1,4%), des « loisirs, sport et culture » (-1,3%) et du « logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles » (-1,2%).
Selon le document, en examinant la nomenclature secondaire, il apparaît que l’inflation en glissement annuel de l’espace UEMOA est portée principalement par la variation des prix des produits frais (6,4%), et par celle des prix des produits les moins volatiles du panier Ihpc (1,3%).
Au regard de l’origine des produits, la hausse est ressortie essentiellement au niveau des produits locaux (3,3%). Au regard du secteur de production des biens et services, l’inflation en janvier 2025 provient des hausses de prix des produits du secteur primaire (7,8%) et dans une moindre mesure du secteur secondaire (1,3%) et du tertiaire (0,6%).
Selon la durabilité des biens, l’inflation découle essentiellement des biens non durables (4,8%), puis des biens semi durables (1,8%) et des biens durables (1,8%).
Adou Faye
Source : https://www.lejecos.com/Zone-Uemoa-L-inflation-en-...