Maïmouna Ndour Faye est attaquée en plein crise politique, sur fond de report de la Présidentielle et d’une éventuelle vote de la loi d’amnistie. Maïmouna Ndour Faye n’a-t-elle pas été agressée pour faire capoter la volonté du président de la République de faire voter l’amnistie à l’Assemblée nationale ?
Le texte, qui porte sur les faits liés aux manifestations politiques et survenus dans le pays entre 2021 et 2024, a été adopté, le 28 février, en Conseil des ministres. Mais il n’est pas du goût de tout le monde. « L’apaisement », « la réconciliation » et « la stabilité du pays », au prix du pardon et de l’oubli souhaités, n’arrangent pas certaines personnes.
Dans la foulée, beaucoup d’acteurs de l’opposition ne souhaitent pas que Ousmane Sonko sorte de prison. N’ont-ils pas perpétré ou commandité cette agression, pour ternir l’image du président de la République, Macky Sall ? Ou ne cherchent-ils pas à amener le chef de l’État, à renoncer à son projet d’amnistie, pour faire maintenir le leader de l’ex-Pastef en détention ?
Qui a intérêt à perpétrer ou commanditer cette agression, dans ce contexte de pacification de l’espace politique ? En tout cas, des dynamismes obscurs aux desseins inavoués, tentent vaille que vaille, de détrôner le régime du Président Macky Sall, qui a fini de mettre le Sénégal sur les rampes de l’émergence.
Depuis que le Président Macky Sall travaille à pacifier le climat social, la stratégie de la «terre brûlée» est mise en branle. Il y a un vent de destruction et d'anéantissement, tant sur le plan infrastructurel qu'institutionnel, que les démolisseurs du camp de l'opposition s'apprêtent à faire souffler sur le Sénégal. Il faut mener une enquête pour élucider les circonstances de cette agression, dont beaucoup de questions taraudent nos esprits. « La vérité est comme le soleil. Elle peut être voilée par les nuages, mais elle finit toujours par percer au travers et briller. Là où l'ignorance hurle avec arrogance, le silence enseigne avec élégance ».
A Maïmouna Ndour Faye, nous lui souhaitons prompt rétablissement. Que son ou ses agresseur(s) soient identifi(é)s, arrêt(és) et traduits en justice.
Mouhamadou Lamine Massaly
Président de l’Union pour une Nouvelle République (UNR
Le texte, qui porte sur les faits liés aux manifestations politiques et survenus dans le pays entre 2021 et 2024, a été adopté, le 28 février, en Conseil des ministres. Mais il n’est pas du goût de tout le monde. « L’apaisement », « la réconciliation » et « la stabilité du pays », au prix du pardon et de l’oubli souhaités, n’arrangent pas certaines personnes.
Dans la foulée, beaucoup d’acteurs de l’opposition ne souhaitent pas que Ousmane Sonko sorte de prison. N’ont-ils pas perpétré ou commandité cette agression, pour ternir l’image du président de la République, Macky Sall ? Ou ne cherchent-ils pas à amener le chef de l’État, à renoncer à son projet d’amnistie, pour faire maintenir le leader de l’ex-Pastef en détention ?
Qui a intérêt à perpétrer ou commanditer cette agression, dans ce contexte de pacification de l’espace politique ? En tout cas, des dynamismes obscurs aux desseins inavoués, tentent vaille que vaille, de détrôner le régime du Président Macky Sall, qui a fini de mettre le Sénégal sur les rampes de l’émergence.
Depuis que le Président Macky Sall travaille à pacifier le climat social, la stratégie de la «terre brûlée» est mise en branle. Il y a un vent de destruction et d'anéantissement, tant sur le plan infrastructurel qu'institutionnel, que les démolisseurs du camp de l'opposition s'apprêtent à faire souffler sur le Sénégal. Il faut mener une enquête pour élucider les circonstances de cette agression, dont beaucoup de questions taraudent nos esprits. « La vérité est comme le soleil. Elle peut être voilée par les nuages, mais elle finit toujours par percer au travers et briller. Là où l'ignorance hurle avec arrogance, le silence enseigne avec élégance ».
A Maïmouna Ndour Faye, nous lui souhaitons prompt rétablissement. Que son ou ses agresseur(s) soient identifi(é)s, arrêt(és) et traduits en justice.
Mouhamadou Lamine Massaly
Président de l’Union pour une Nouvelle République (UNR