Le lutteur Malal Ndiaye, qualifié aux Jeux olympiques (JO) de 2012, appelle les autorités sénégalaises à lui venir en aide, pour lui permettre de bien préparer les prochaines olympiades.
Dans un entretien avec la radio privée RFM, mercredi, le lutteur, qui s’est qualifié à l’occasion de compétitions récemment organisées à Marrakech (Maroc), a déclaré avoir besoin d’une bonne préparation pour décrocher une médaille d’or aux JO.
«Je vais aux JO sous les couleurs du Sénégal. J’ai donc besoin d’un soutien conséquent pour faire une bonne préparation», a dit le lutteur, qui allie la lutte olympique à la lutte avec frappe.
Malal Ndiaye, champion d’Afrique (+100 kg) sera opposé à Cheikhou Diène, en lutte avec frappe, le 31 mars prochain. Ndiaye et Isabelle Sambou seront les deux lutteurs dans la délégation sénégalaise, à l’occasion des JO de Londres.
Le Sénégal, où la lutte est un sport traditionnel, n’a remporté aucune médaille ni aux Championnats du monde, encore moins aux JO. La lutte gréco-romaine et olympique n’a rien à voir avec la lutte traditionnelle. Elle est encore plus lointaine de la lutte avec frappe, le sport le plus médiatisé au Sénégal.
SOURCE:yekini.com
Dans un entretien avec la radio privée RFM, mercredi, le lutteur, qui s’est qualifié à l’occasion de compétitions récemment organisées à Marrakech (Maroc), a déclaré avoir besoin d’une bonne préparation pour décrocher une médaille d’or aux JO.
«Je vais aux JO sous les couleurs du Sénégal. J’ai donc besoin d’un soutien conséquent pour faire une bonne préparation», a dit le lutteur, qui allie la lutte olympique à la lutte avec frappe.
Malal Ndiaye, champion d’Afrique (+100 kg) sera opposé à Cheikhou Diène, en lutte avec frappe, le 31 mars prochain. Ndiaye et Isabelle Sambou seront les deux lutteurs dans la délégation sénégalaise, à l’occasion des JO de Londres.
Le Sénégal, où la lutte est un sport traditionnel, n’a remporté aucune médaille ni aux Championnats du monde, encore moins aux JO. La lutte gréco-romaine et olympique n’a rien à voir avec la lutte traditionnelle. Elle est encore plus lointaine de la lutte avec frappe, le sport le plus médiatisé au Sénégal.
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