Le trompettiste s’est éteint ce mardi 23 janvier, en Afrique du Sud, des suites d’un cancer de la prostate contre lequel il luttait depuis près de dix ans. Il avait 78 ans.
Ramapolo Hugh Masekela n’était pas seulement une légende du jazz ou le père du jazz sud-africain. Il était bien plus que cela. « Brother Hugh » était un musicien-activiste qui se servait de sa voix et surtout de son souffle, à la trompette, au bugle ou au cornet pour épancher ses intimes convictions, faire part des combats acharnés qu’il menait et même des addictions avec lesquelles il se débattait.
Sa musique polymorphe est le reflet d’un combat permanent, en première ligne dans la lutte contre l’apartheid, contre l’oppression. Souffle impétueux, aigü, pétri à la fois de colère et d’espoir…
Ramapolo Hugh Masekela n’était pas seulement une légende du jazz ou le père du jazz sud-africain. Il était bien plus que cela. « Brother Hugh » était un musicien-activiste qui se servait de sa voix et surtout de son souffle, à la trompette, au bugle ou au cornet pour épancher ses intimes convictions, faire part des combats acharnés qu’il menait et même des addictions avec lesquelles il se débattait.
Sa musique polymorphe est le reflet d’un combat permanent, en première ligne dans la lutte contre l’apartheid, contre l’oppression. Souffle impétueux, aigü, pétri à la fois de colère et d’espoir…