C’est son papa Elimane Ndour himself qui avait confié que quand Youssou Ndour a eu des petits problèmes avec la boîte d’Ibra Kasset au début de sa carrière musicale, il avait laissé tout pour acheter d’autres matériels pour reprendre à zéro, pour finalement construire le Super Etoile devenue l’académie musicale de référence au Sénégal.
Mais, après de grands déboires au groupe Com 7 avec Yakham Mbaye, Bara Tall et Cheikh Tall Dioum, Youssou Ndour, en tant que manager, a su faire le vide autour de lui, sur les rails le Groupe Futurmédias pour en faire aussi le groupe de presse de référence au Sénégal.
Donc, même si le bateau GFM semble tanguer avec les démissions surprise de Mamoudou Ibra Kane, Alassane Samba Diop, Khalifa Diakhaté ou en encore Dj Boubs, GFM ne sera jamais un bateau ivre.
Il semble logique que Youssou Ndour trouve la solution pour remettre les pendules à l’heure, même si le fils Birane Ndour a déjà annoncé la couleur.
« Le GFM dont le credo est l’innovation et la créativité répondra efficacement aux enjeux et défis d’un environnement qui est en perpétuelle mutation », a récemment avancé Birane Ndour.
Mais, il faut dire que les derniers sondages ont toujours placé le groupe de Youssou Ndour en tête avec TFM, l’OBS, RFM. Aujourd’hui, le Groupe Futurs Médias a mis sur orbite deux nouvelles chaînes de télévision, L’Obs TV et TFM religions sans oublier deux radios thématiques et le quotidien sportif, Record qui est en train de faire son chemin.
Plus que jamais avec Pape Cheiklh Diallo, Assane Guèye, Directeur de la RFM, Babacar Fall et Daouda Diouf, respectivement Directeur de la Rédaction et Directeur des programmes, le processus qui avait conduit à la création de Sports Fm, de l’Obs puis de la TFM, est enclenché avec des perspectives africaines.
Youssou Ndour était conscient de cet environnement compétitif, mais GFM n’est pas pour lui une obsession. « Je ne cours pas ! Je crois au travail bien fait et dans chaque domaine, j’essaye d’avoir les meilleurs avec moi. C’est ça mon secret. Je milite pour l’évolution. Je suis un artiste et je vis de ma passion. Et ce n’est pas pour remplir les coffres des banques que je m’investis autant. Une fois de plus, sachez que je ne cours pas du tout. » C’est peut-être ça le secret de sa réussite et de sa résilience. Wait and see.
Leral.net
Mais, après de grands déboires au groupe Com 7 avec Yakham Mbaye, Bara Tall et Cheikh Tall Dioum, Youssou Ndour, en tant que manager, a su faire le vide autour de lui, sur les rails le Groupe Futurmédias pour en faire aussi le groupe de presse de référence au Sénégal.
Donc, même si le bateau GFM semble tanguer avec les démissions surprise de Mamoudou Ibra Kane, Alassane Samba Diop, Khalifa Diakhaté ou en encore Dj Boubs, GFM ne sera jamais un bateau ivre.
Il semble logique que Youssou Ndour trouve la solution pour remettre les pendules à l’heure, même si le fils Birane Ndour a déjà annoncé la couleur.
« Le GFM dont le credo est l’innovation et la créativité répondra efficacement aux enjeux et défis d’un environnement qui est en perpétuelle mutation », a récemment avancé Birane Ndour.
Mais, il faut dire que les derniers sondages ont toujours placé le groupe de Youssou Ndour en tête avec TFM, l’OBS, RFM. Aujourd’hui, le Groupe Futurs Médias a mis sur orbite deux nouvelles chaînes de télévision, L’Obs TV et TFM religions sans oublier deux radios thématiques et le quotidien sportif, Record qui est en train de faire son chemin.
Plus que jamais avec Pape Cheiklh Diallo, Assane Guèye, Directeur de la RFM, Babacar Fall et Daouda Diouf, respectivement Directeur de la Rédaction et Directeur des programmes, le processus qui avait conduit à la création de Sports Fm, de l’Obs puis de la TFM, est enclenché avec des perspectives africaines.
Youssou Ndour était conscient de cet environnement compétitif, mais GFM n’est pas pour lui une obsession. « Je ne cours pas ! Je crois au travail bien fait et dans chaque domaine, j’essaye d’avoir les meilleurs avec moi. C’est ça mon secret. Je milite pour l’évolution. Je suis un artiste et je vis de ma passion. Et ce n’est pas pour remplir les coffres des banques que je m’investis autant. Une fois de plus, sachez que je ne cours pas du tout. » C’est peut-être ça le secret de sa réussite et de sa résilience. Wait and see.
Leral.net