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19 moments complètement chelous repérés dans les films James Bond

le 13 Novembre 2015 à 17:30

James Bond a survécu à toutes les modes, à tous les excès. Il a évolué avec les acteurs à travers son époque. Voici quelques-uns des moments les plus fous, les plus maboules, les plus risibles et les plus hallucinants de cette série.


19 moments complètement chelous repérés dans les films James Bond

La fois où James Bond s’est grimé «en Japonais» pour passer pour un vieux pêcheur.

La fois où James Bond s'est grimé «en Japonais» pour passer pour un vieux pêcheur.
Eon Productions

Dans On ne vit que deux fois (1967). Pauvre Sean Connery, on n’y croit pas une seconde.

2. La fois où James Bond a tué son adversaire en le gonflant comme un ballon de baudruche.

Eon Productions

Dans Vivre et Laisser mourir (1973), à l’aide d’une capsule anti-requin (?!).

3. La fois où James Bond s’échappe dans un buggy lunaire de conspirationistes à travers le désert.

Dans Les diamants sont éternels (1971).

Deux ans à peine après le premier pas de l’Homme sur la Lune, James Bond tombe sur un faux décor représentant le sol lunaire dans une base ennemie et s’évade dans ce buggy quelque peu original. Je ne sais pas si le plus surprenant est la présence d’un décor de conspirationniste ou bien l’extrême réactivité de la production aux théories complotistes.

4. La fois où il est mort de frousse devant un mec qui porte un costume d’ours.

Eon Productions

Dans Au Service de Sa Majesté (1969).

5. Toutes les fois où James Bond conduit de manière improbable.

Ici dans Dangereusement vôtre (1985).

Dans Spectre (2015), il remet ça avec un avion qu’il fait tourner de manière improbable. Et dans Permis de tuer (1989), grâce aux talents de Rémy Julienne, il fait cabrer un semi-remorque sur plusieurs axes. Trop fort.

6. La fois où James Bond s’est demandé pourquoi les filles chinoises ont un goût si différent des filles occidentales.

19 moments complètement chelous repérés dans les films James Bond
Eon Productions

Dans On ne vit que deux fois (1967).

Juste après, il explique qu’il n’y en a pas une meilleure. C’est comme le caviar et le canard laqué… «C’est juste différent», rétorque-t-il. So classy, James.

7. La fois où il a fait du kitesurf sur un tsunami en images de synthèse.

Dans Meurs un autre jour (2002), un moment considéré comme le pinacle de la honte dans un film de 007. Pierce Brosnan lui-même est mort de rire et mort de honte à la fois quand on lui en reparle.

8. La fois où il abandonne le cadavre d’une ennemie avec qui il dansait à la table d’un couple de petits vieux lors d’une fête.

Dans Opération Tonnerre (1965).

9. La fois où un pigeon n’en a pas cru ses yeux quand James Bond a traversé la Place Saint-Marc à Venise à bord d’une gondole tout-terrain.

Dans Moonraker (1979).

Eon Productions

«Pigeon double-take».

10. La fois où il a pris un bain avec un homme et que la production a collé plein de jolies filles pour éviter tout malentendu.

Eon Productions

Dans On ne vit que deux fois (1967).

11. La fois où James Bond a failli mourir sur une machine à étirer le dos.

Dans Opération Tonnerre (1965).

12. La fois où James Bond a utilisé un violoncelle Stradivarius comme gouvernail pour sa luge improvisée.

Eon Productions.

Dans Tuer n’est pas jouer (1987).

13. La fois où son ennemi Requin (Jaws en anglais) tombe amoureux d’une fille qui ressemble à Annette de Premiers Baisers.

Dans Moonraker (1979).

14. La fois où il a juste pris une douche pour se décontaminer des radiations atomiques.

19 moments complètement chelous repérés dans les films James Bond
Eon Productions

Dans James Bond contre Dr.No (1962).

15. La fois où James Bond a sauté sur le dos de crocodiles pour se sauver d’un piège.

Eon Productions

Dans Vivre et laisser mourir (1973).

Et voici tous les essais pour cette séquence. Ross Kananga, le patron d’une ferme de crocodiles en Jamaïque a failli y perdre sa jambe lors d’un des sauts.

16. La fois où Johnny Cash a envoyé une maquette spontanée pour le film Opération Tonnerre, qui n’a finalement pas été utilisée par la production.

On dirait qu’il ne sait pas du tout de quoi ça parle, ça ne sonne même pas du tout «James Bond» mais c’est classe quand même.

17. La fois où il a transformé la méchante lesbienne Pussy Galore en gentille James Bond Girl hétérosexuelle.

Dans Goldfinger (1964).

Et comme d’habitude dans tous les films de Sean Connery, les «relations sexuelles» frôlent assez souvent le viol. Du Ian Fleming tout craché.

18. La fois où il a séduit une James Bond Girl vierge en changeant toutes les cartes de tarot à son avantage.

Dans Vivre et Laisser Mourir (1973).

Je veux savoir ce qu’il a fait. Est-ce qu’il a imprimé des cartes dans son hôtel? A-t-il acheté 30 jeux de cartes différents pour en extraire que celle des «Amants» ? Tellement de questions se posent.

19. La fois où James Bond a défié les lois de la physique pour rattraper un avion en plein vol.

Eon Productions

Dans GoldenEye (1995). Complètement maboule.