L’ancien ministre défend la transparence du processus d’acquisition des denrées alimentaires pendant la pandémie
La polémique sur les denrées alimentaires du Programme de Résilience Économique et Sociale (PRES) refait surface, mais cette fois-ci, Mansour Faye monte au créneau pour rétablir les faits.
Selon l’ancien ministre du Développement communautaire, de l’Équité sociale et territoriale, les accusations portées par certains opposants relèvent d’une manipulation politique grossière, qui ignore volontairement le contexte d’urgence dans lequel s’inscrivait la gestion du COVID-19.
Il rappelle que le Président de la République avait pris, dès le 18 mars 2020, le décret n°2020-781 dérogeant au Code des Marchés Publics, permettant aux ministères concernés de passer des marchés sans appel d’offres classique. Cependant, selon Mansour Faye, son ministère avait choisi volontairement la voie de l’appel d’offres, pour plus de transparence et de rigueur.
Une correspondance officielle avec l’ARMP (réf. 00027/MDCEST/DAGE du 30 mars 2020) a été engagée pour encadrer le processus. L’appel à concurrence a été lancé dans « Le Soleil » et « L’Observateur », et les fournisseurs sélectionnés selon des critères stricts.
Voici les quatre fournisseurs principaux pour le riz :
• Groupe Bembouck : 5.000 T
• Avantis Suarl : 35.000 T + 10.000 T
• AFRI And CO : 30.000 T
• CCMN : 30.000 T
Selon Mansour Faye, la distribution a été organisée avec l’Armée, la Gendarmerie, le Commissariat à la Sécurité Alimentaire et l’Administration Territoriale, assurant un niveau de transparence jamais égalé dans l’histoire du pays.
Quant aux paiements, ils ont été gérés en accord avec le Ministère des Finances, sous contrôle strict. La Cour des comptes, selon lui, n’a évoqué que des écarts de procédure, sans accuser de détournement.
Enfin, Mansour Faye dénonce vigoureusement les allégations de surfacturation qu’il qualifie de “véritable forfaiture”, destinée à salir une opération humanitaire d’envergure.
Selon l’ancien ministre du Développement communautaire, de l’Équité sociale et territoriale, les accusations portées par certains opposants relèvent d’une manipulation politique grossière, qui ignore volontairement le contexte d’urgence dans lequel s’inscrivait la gestion du COVID-19.
Il rappelle que le Président de la République avait pris, dès le 18 mars 2020, le décret n°2020-781 dérogeant au Code des Marchés Publics, permettant aux ministères concernés de passer des marchés sans appel d’offres classique. Cependant, selon Mansour Faye, son ministère avait choisi volontairement la voie de l’appel d’offres, pour plus de transparence et de rigueur.
Une correspondance officielle avec l’ARMP (réf. 00027/MDCEST/DAGE du 30 mars 2020) a été engagée pour encadrer le processus. L’appel à concurrence a été lancé dans « Le Soleil » et « L’Observateur », et les fournisseurs sélectionnés selon des critères stricts.
Voici les quatre fournisseurs principaux pour le riz :
• Groupe Bembouck : 5.000 T
• Avantis Suarl : 35.000 T + 10.000 T
• AFRI And CO : 30.000 T
• CCMN : 30.000 T
Selon Mansour Faye, la distribution a été organisée avec l’Armée, la Gendarmerie, le Commissariat à la Sécurité Alimentaire et l’Administration Territoriale, assurant un niveau de transparence jamais égalé dans l’histoire du pays.
Quant aux paiements, ils ont été gérés en accord avec le Ministère des Finances, sous contrôle strict. La Cour des comptes, selon lui, n’a évoqué que des écarts de procédure, sans accuser de détournement.
Enfin, Mansour Faye dénonce vigoureusement les allégations de surfacturation qu’il qualifie de “véritable forfaiture”, destinée à salir une opération humanitaire d’envergure.