Dans une démocratie appréciable, les populations doivent moins souffrir. Elles doivent aussi être en sécurité. Les libertés fondent les états modernes et démocratiques.
L’idée de la rationalité
La question n’est pas dans le nombre mais dans les convictions. Comme nous sommes obligés de coaliser pour gagner, mieux vaux le faire par les convictions et par les idéaux politiques plutôt que par les circonstances de la temporalité.
Certaines petites formations ne grenouillent pas ici et là (comme certains gros partis) mais tout au contraire, c’est des gens qui ont « OSER partir seul ». Dans un jeu démocratique, chacun peut tenter sa chance. C’est pourtant l’absence de démocratie interne qui pousse la grande majorité des jeunes leaders, souvent dans l’étroit dans leurs formations politiques, à ouvrir ces cieux. Ils peuvent aussi être des très ambitieux.
C’est ça la démocratie. En démocratie, on ne doit pas être raciste et on ne doit pas non plus négliger les fortes minorités. Une minorité aujourd’hui pourrait être une majorité demain et inversement.
Aujourd’hui, les récépissés des partis politiques sont distribués selon les humeurs du Ministre de l’intérieur. Tout sénégalais, s’il le désire, doit pouvoir créer son parti. Nous sommes pour que des articles supplémentaires soient ajoutés sur les textes de reconnaissance de ce type d’association. Les leaders qui ont fusionné leurs partis, ne sont des non ambitieux. Leurs partis doivent être éliminés de la base de données et ils leurs devront être sur une liste rouge pendant 99 ans, c’est à dire la durée de vie d’association.
Ainsi le premier niveau de rationalisation serait de supprimer de la liste tous les partis qui ont été absorbés par le PDS (comme PPC et autres) et ceux qui aujourd’hui se sont dissous dans l’ARP (comme l’UDS/Innovation et autres).
Quoi qu’on puisse dire, il y a que deux blocs au Sénégal : les partis de gauche et les libéraux.
Avec l’éclatement des libéraux, se sont nés les Wadistes (les vrais libéraux) et les républicains (incarnés par le Président Macky SALL). Si la gauche se trouve (socialistes et communistes), nous aurons donc trois blocs sinon quatre blocs vont se dessiner.
Tenant compte des autres, les non de gauche et non libéraux, deux autres blocs pourraient voir le jour : le centrisme (l’UCS et autres) et le nationalisme (le PVD et autres).
Ainsi pour tout nouveau parti, il faut choisir son bloc, lors de sa création, sur la liste des six : les vrais libéraux ; les républicains ; les socialistes ; les communistes ; les centrismes et les nationalistes.
Six mois avant les élections, des primaires devront être organisées pour choisir un candidat parmi les leaders et investis des partis de chaque bloc.
Et tout candidat indépendant doit avoir un minimum de 20.000 signatures avec 2000 au minimum sur 7 régions et 1000 au minimum sur les 7 autres régions.
Ainsi quelque soit les élections, il n’aura pas plus de 10 listes et même avec les possibilités de coalition entre les blocs, le temps d’une élections, ce nombre pourrait être encore réduit.
Nous pensons que ceci pourrait être une piste qui permettrait à ceux qui veulent créer des partis de réfléchir et bien comprendre les enjeux avant de s’engager. Les partis vont s’organiser l’avantage et pourront ainsi jouer pleinement leurs rôles dans l’échiquier politique, économique et social du pays.
Modou FALL
Président du Rassemblement pour la Vérité / Degg moo woor
L’idée de la rationalité
La question n’est pas dans le nombre mais dans les convictions. Comme nous sommes obligés de coaliser pour gagner, mieux vaux le faire par les convictions et par les idéaux politiques plutôt que par les circonstances de la temporalité.
Certaines petites formations ne grenouillent pas ici et là (comme certains gros partis) mais tout au contraire, c’est des gens qui ont « OSER partir seul ». Dans un jeu démocratique, chacun peut tenter sa chance. C’est pourtant l’absence de démocratie interne qui pousse la grande majorité des jeunes leaders, souvent dans l’étroit dans leurs formations politiques, à ouvrir ces cieux. Ils peuvent aussi être des très ambitieux.
C’est ça la démocratie. En démocratie, on ne doit pas être raciste et on ne doit pas non plus négliger les fortes minorités. Une minorité aujourd’hui pourrait être une majorité demain et inversement.
Aujourd’hui, les récépissés des partis politiques sont distribués selon les humeurs du Ministre de l’intérieur. Tout sénégalais, s’il le désire, doit pouvoir créer son parti. Nous sommes pour que des articles supplémentaires soient ajoutés sur les textes de reconnaissance de ce type d’association. Les leaders qui ont fusionné leurs partis, ne sont des non ambitieux. Leurs partis doivent être éliminés de la base de données et ils leurs devront être sur une liste rouge pendant 99 ans, c’est à dire la durée de vie d’association.
Ainsi le premier niveau de rationalisation serait de supprimer de la liste tous les partis qui ont été absorbés par le PDS (comme PPC et autres) et ceux qui aujourd’hui se sont dissous dans l’ARP (comme l’UDS/Innovation et autres).
Quoi qu’on puisse dire, il y a que deux blocs au Sénégal : les partis de gauche et les libéraux.
Avec l’éclatement des libéraux, se sont nés les Wadistes (les vrais libéraux) et les républicains (incarnés par le Président Macky SALL). Si la gauche se trouve (socialistes et communistes), nous aurons donc trois blocs sinon quatre blocs vont se dessiner.
Tenant compte des autres, les non de gauche et non libéraux, deux autres blocs pourraient voir le jour : le centrisme (l’UCS et autres) et le nationalisme (le PVD et autres).
Ainsi pour tout nouveau parti, il faut choisir son bloc, lors de sa création, sur la liste des six : les vrais libéraux ; les républicains ; les socialistes ; les communistes ; les centrismes et les nationalistes.
Six mois avant les élections, des primaires devront être organisées pour choisir un candidat parmi les leaders et investis des partis de chaque bloc.
Et tout candidat indépendant doit avoir un minimum de 20.000 signatures avec 2000 au minimum sur 7 régions et 1000 au minimum sur les 7 autres régions.
Ainsi quelque soit les élections, il n’aura pas plus de 10 listes et même avec les possibilités de coalition entre les blocs, le temps d’une élections, ce nombre pourrait être encore réduit.
Nous pensons que ceci pourrait être une piste qui permettrait à ceux qui veulent créer des partis de réfléchir et bien comprendre les enjeux avant de s’engager. Les partis vont s’organiser l’avantage et pourront ainsi jouer pleinement leurs rôles dans l’échiquier politique, économique et social du pays.
Modou FALL
Président du Rassemblement pour la Vérité / Degg moo woor