Le Soleil prévient que cela ‘’pourrait entraîner la propagation de l’hydrogène sulfureux capable de provoquer la mort en quelques minutes’’, ajoutant qu’il y a aussi un risque d’’’effondrement d’immeubles et des inondations causées par les eaux usées’’.
Le Populaire étale lui aussi son inquiétude. Parlant de ‘’vives inquiétudes autour du collecteur primaire des eaux usées’’, une infrastructure vieille de 70 ans, le journal titre : ‘’HLM, Ouagou Niayes, Bopp, Grand-Dakar sur le canal de la mort’’.
Citant le directeur de la Protection civile, Mare Lô, le journal avertit que ‘’le canal peut s’affaisser à tout moment. Selon le Populaire, ‘’51 maisons et édifices construits au-dessus de l’ouvrage seraient alors emportés’’, compte non tenu de l’’’inondation de 2200 hectares entre les HLM 4 et 5 et Ouagou Niayes, Bopp et Niary Tall et plus de 300 000 victimes’’.
Mais le journal annonce que le préfet de Dakar, qui s’est rendu sur les lieux, ‘’envisage de déguerpir les 51 maisons et édifices construits au-dessus du canal’’.
Siweul Quotidien ne cache pas non plus son inquiétude. ‘’Le canal 3 risque d’exploser : alerte rouge pour 300 000 personnes’’, écrit le journal qui relève que ‘’les autorités ont entamé des séances de sensibilisation au niveau des populations concernées avant que le pire n’arrive’’.
Dans le même sillage, L’Observateur écrit dans sa manchette que ‘’300 mille Dakarois (sont) en danger de mort’’. Toutefois, le journal indique que ‘’le gouvernement est en train de chercher des solutions radicales avec les populations riveraines’’, en citant le directeur de la Protection civile, Mare Lô.
Sud Quotidien lui fait un focus sur l’origine de l’argent des partis politiques. ‘’D’où vient l’argent des partis ? Comment est-il utilisé ? La question agace et les réponses servies sont plus que laconiques, surtout lorsqu’elles se drapent du grand boubou +officiel+ de la loi. Celles qui circonscrit les ressources financières aux cotisations, dons et libéralités de ses membres (…)’’, remarque le commentateur du journal.
‘’C’est l’arbre qui cache la forêt, le miroir aux alouettes ! Les coulisses sont grosses de secrets que la scène dissimule pour faire sensation’’, poursuit-il.
Sur un tout autre plan, L’Observateur indique que ‘’les cinq +Sages+ du Conseil constitutionnel bénéficient d’un traitement avantageux, d’une rétribution de haut rang que leur confère leur statut’’.
Le journal précise que ses membres sont alignés, côté salaire, sur les ministres et perçoivent pas moins de 2,5 millions, même s’ils voyagent en classe affaires’’. Il ajoute que ‘’chacun d’eux dispose d’un véhicule et d’un logement de fonction et a droit à 1000 litres de carburant par mois’’.
APS
Le Populaire étale lui aussi son inquiétude. Parlant de ‘’vives inquiétudes autour du collecteur primaire des eaux usées’’, une infrastructure vieille de 70 ans, le journal titre : ‘’HLM, Ouagou Niayes, Bopp, Grand-Dakar sur le canal de la mort’’.
Citant le directeur de la Protection civile, Mare Lô, le journal avertit que ‘’le canal peut s’affaisser à tout moment. Selon le Populaire, ‘’51 maisons et édifices construits au-dessus de l’ouvrage seraient alors emportés’’, compte non tenu de l’’’inondation de 2200 hectares entre les HLM 4 et 5 et Ouagou Niayes, Bopp et Niary Tall et plus de 300 000 victimes’’.
Mais le journal annonce que le préfet de Dakar, qui s’est rendu sur les lieux, ‘’envisage de déguerpir les 51 maisons et édifices construits au-dessus du canal’’.
Siweul Quotidien ne cache pas non plus son inquiétude. ‘’Le canal 3 risque d’exploser : alerte rouge pour 300 000 personnes’’, écrit le journal qui relève que ‘’les autorités ont entamé des séances de sensibilisation au niveau des populations concernées avant que le pire n’arrive’’.
Dans le même sillage, L’Observateur écrit dans sa manchette que ‘’300 mille Dakarois (sont) en danger de mort’’. Toutefois, le journal indique que ‘’le gouvernement est en train de chercher des solutions radicales avec les populations riveraines’’, en citant le directeur de la Protection civile, Mare Lô.
Sud Quotidien lui fait un focus sur l’origine de l’argent des partis politiques. ‘’D’où vient l’argent des partis ? Comment est-il utilisé ? La question agace et les réponses servies sont plus que laconiques, surtout lorsqu’elles se drapent du grand boubou +officiel+ de la loi. Celles qui circonscrit les ressources financières aux cotisations, dons et libéralités de ses membres (…)’’, remarque le commentateur du journal.
‘’C’est l’arbre qui cache la forêt, le miroir aux alouettes ! Les coulisses sont grosses de secrets que la scène dissimule pour faire sensation’’, poursuit-il.
Sur un tout autre plan, L’Observateur indique que ‘’les cinq +Sages+ du Conseil constitutionnel bénéficient d’un traitement avantageux, d’une rétribution de haut rang que leur confère leur statut’’.
Le journal précise que ses membres sont alignés, côté salaire, sur les ministres et perçoivent pas moins de 2,5 millions, même s’ils voyagent en classe affaires’’. Il ajoute que ‘’chacun d’eux dispose d’un véhicule et d’un logement de fonction et a droit à 1000 litres de carburant par mois’’.
APS