2. Quand on commençait à jouer, on faisait la connaissance de Sam le lapin, notre guide.
3. Il y avait aussi Papychêne avec sa grosse voix, et son copain le bouleau qui avait un zeveux zur la langue.
4. On pouvait se promener librement dans la forêt le matin, l’après-midi ou la nuit, et prendre plein de photos d’animaux pour compléter le bestiaire.
Ou ramasser des feuilles pour les mettre dans l’herbier.
5. Il y avait la tour, la scierie, l’aire de pique-nique, la vieille forêt, la rivière et les montagnes.
7. «La peinture cadeau», où on devait réaliser un tableau pour l’anniversaire de Papychêne.
8. Il fallait récupérer la peinture aux quatre coins de la forêt grâce à des lunettes magiques…
10. «Les nuages», où on rejoignait Sam à la montagne pour jouer à dessiner des animaux sur une ardoise.
11. Pour s’y rendre, il fallait prendre le dirigeable d’un hibou-pilote.
Il était un peu creepy et il finissait toutes ses phrases par «mon poussin».
12. «L’agent secret», où on avait pour mission d’apporter son cadeau d’anniversaire à la reine des fourmis.
13. Il fallait d’abord retrouver le cadeau dans l’immense labyrinthe de la fourmilière…
14. … mais sans se faire repérer par les dangereux Scarabors.
Pour ça, on devait enfiler le bon costume au bon moment.
15. «Les champignons enchantés», où tous les animaux de la forêt étaient victimes d’une mauvaise blague des fées.
16. Pour défaire le sortilège et guérir les animaux, il fallait replacer correctement les champignons sur une grille.
17. «La montagne de feu», le niveau qui a traumatisé toute une génération.
Même la musique de fond avec les chœurs lugubres faisait froid dans le dos.
20. SÉRIEUSEMENT??
C’était pas censé être un jeu pour enfants, à la base?
21. L’horreur quand on se trompait au moment de placer les pierreries.
:( :( :(
23. «La petit sirène», un niveau non moins étrange où Papychêne et le bouleau étaient hypnotisés par le chant d’une sirène.
24. C’était le niveau le plus difficile du jeu: il fallait récupérer des pièces au fond de la rivière et les déposer dans un coffre, sans se faire dévorer par les poissons et les crabes.
Heureusement, les coquillages permettaient de récupérer des points de vie \o/
26. … avec qui on jouait à un jeu de société où il fallait répondre à des questions sur la nature et ramasser des noisettes.
«Bravooo, tu as une noisette!»
27. «Le cheval à bascule», avec l’histoire trop triste de la famille qui avait fui une tempête de neige, et du père bûcheron qui avait oublié le cheval à bascule de son fils.
28. Il fallait terminer le cheval pour qu’il puisse prendre vie et rejoindre le petit John.
31. Les fourmis qui jouaient du jazz.
On pouvait arrêter et faire reprendre chaque instrument à notre guise.
32. L’araignée qui jouait du xylophone à la lumière des lampions.
On pouvait jouer aussi et même enregistrer nos morceaux!
33. Et bien sûr, l’atelier musical de Jack la belette, au premier étage de la scierie.
35. … et l’atelier des instruments de musique.
Une fois qu’un instrument était construit, on entendait sa musique.
36. Sans oublier le moment du générique qui était culte à lui tout seul.
«Je m’appelle Tooom le Hiboooou, j’ai les cheveeeux longs dans le coooou…»
37. Alors merci aux créateurs du meilleur point-and-click de l’histoire!
Forestia, à jamais dans nos cœurs <3
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