L'on se rappelle les matinées du 4 avril, l'envie de rallier tôt le Boulevard du Centenaire pour avoir les bonnes places, quitte à sauter le petit déj', cette envie de voir l'escadron monter les chevaux majestueux, les vedettes du jour, les chars de combat, la marine, la police, la douane. tant de corps dont chacun de nous rêvait haut ou en silence, de porter la tenue. C'était également le moment où beaucoup préféraient capter l'Orts, devenue Rts entre-temps, pour voir le président de la République de l'époque dans son véhicule, regagner sa place. A chaque défilé, l'on se sentait fier d'être Sénégalais, d'être indépendant, de montrer sa "puissance" aux autres pays de la sous-région, pour certains, moins équipés que le Sénégal.
Mais, sous le règne de Wade comme celui de l'actuel, certains anniversaires de l'indépendance ont troqué les défilés contre la prise d'armes pour plusieurs raisons. Si pour la plupart, la sobriété a été de mise, avec des restrictions budgétaires, Macky Sall quant à lui, a été obligé de faire avec durant ces deux dernières années, surtout à cause de la crise sanitaire mondiale qu'est la Covid-19.
Cette année ne dérogera pas à la règle, avec une prise d'armes et une cérémonie de décoration, au menu du programme. Le thème de cette année étant "Les Forces de défense et de sécurité, la résilience nationale".
Mais, sous le règne de Wade comme celui de l'actuel, certains anniversaires de l'indépendance ont troqué les défilés contre la prise d'armes pour plusieurs raisons. Si pour la plupart, la sobriété a été de mise, avec des restrictions budgétaires, Macky Sall quant à lui, a été obligé de faire avec durant ces deux dernières années, surtout à cause de la crise sanitaire mondiale qu'est la Covid-19.
Cette année ne dérogera pas à la règle, avec une prise d'armes et une cérémonie de décoration, au menu du programme. Le thème de cette année étant "Les Forces de défense et de sécurité, la résilience nationale".