Les 9 homosexuels avaient loué un appartement dans un immeuble situé juste au nord de la grande mosquée de Sicap Mbao. Dans cet immeuble collectif, ces jeunes âgés entre 20 et 30 ans, s’adonnaient souvent à des parties de jambes en l’air. Pour cacher leur jeu, ils avaient fait croire aux riverains qu’ils avaient formé une association dont le but était de sensibiliser les gays sur le Sida. Cependant, le pot aux roses finira par être découvert par les populations qui vendront la mèche aux policiers.
C’est ainsi que le 21 décembre dernier, tard dans la soirée, les limiers vont faire une descente dans le nid de ces homosexuels et embarquer les occupants. Ils récupéreront également sur les lieux, des photos montrant des scènes d’ébats entre ces homosexuels. Devant la barre du tribunal des flagrants délits, ces derniers ont tous reconnu leur statut d’homosexuels, précisant même avoir entretenu des relations sexuelles entre eux. C’est le cas de Djadji Diouf, cerveau du réseau ainsi que de Mouhadou Sow. Ce dernier a révélé avoir eu des penchants homosexuels à cause de son beau-frère qui le violait quand il était beaucoup plus jeune.
Les limiers les ont surpris, au moment de leur descente, en flagrant délit d’actes contre-nature. Ce qui fera dire à leurs avocats qu’il n’y a pas d’infraction en ce sens qu’il n’existe pas de délit d’homosexualité mais d’actes contre nature. Sollicitant la relaxe, les conseils des prévenus ont demandé au tribunal de tendre la perche à ces derniers en leur donnant l’occasion de se réhabiliter. Un ouhait qui tranche avec celui du substitut du procureur qui a requis 5 ans de prison ferme. A son avis, l’attitude des prévenus est contraire à nos mœurs et à la religion. Après délibéré, le tribunal a corsé la peine requise par le parquet, en infligeant aux prévenus, 8 ans de prison ferme. Ils devront payer chacun une amende de 500 000 Fcfa.
source nettali
C’est ainsi que le 21 décembre dernier, tard dans la soirée, les limiers vont faire une descente dans le nid de ces homosexuels et embarquer les occupants. Ils récupéreront également sur les lieux, des photos montrant des scènes d’ébats entre ces homosexuels. Devant la barre du tribunal des flagrants délits, ces derniers ont tous reconnu leur statut d’homosexuels, précisant même avoir entretenu des relations sexuelles entre eux. C’est le cas de Djadji Diouf, cerveau du réseau ainsi que de Mouhadou Sow. Ce dernier a révélé avoir eu des penchants homosexuels à cause de son beau-frère qui le violait quand il était beaucoup plus jeune.
Les limiers les ont surpris, au moment de leur descente, en flagrant délit d’actes contre-nature. Ce qui fera dire à leurs avocats qu’il n’y a pas d’infraction en ce sens qu’il n’existe pas de délit d’homosexualité mais d’actes contre nature. Sollicitant la relaxe, les conseils des prévenus ont demandé au tribunal de tendre la perche à ces derniers en leur donnant l’occasion de se réhabiliter. Un ouhait qui tranche avec celui du substitut du procureur qui a requis 5 ans de prison ferme. A son avis, l’attitude des prévenus est contraire à nos mœurs et à la religion. Après délibéré, le tribunal a corsé la peine requise par le parquet, en infligeant aux prévenus, 8 ans de prison ferme. Ils devront payer chacun une amende de 500 000 Fcfa.
source nettali