«La politique au Sénégal est devenue très malsaine, l’éthique n’est plus de mise car je croyais que les problèmes des populations seraient la priorité des hommes qui nous gouvernent. Mais force est de constater que la poursuite des intérêts est la seule préoccupation des Sénégalais présentement ; en plus de faire des coups bas à son prochain. Cela est de la méchanceté gratuite». Tels sont les maux dénoncés par la responsable «rewmiste». Pour Dada Mboup, le sens de faire de la politique serait plutôt de participer à l’émancipation des populations par la revendication de leurs droits et non par des querelles de positionnement.
«D’anciennes personnalités qui étaient des porte-voix dans le gouvernement et qui ont été radiées par la suite ont montré toutes leurs limites en se retournant contre leur parti d’origine». Cela est la conséquence d’une mauvaise politique selon Aida Mboup qui appuie : «cela est l’exemple patent que leurs intérêts sont la seule chose qui intéresse ces personnes». Pour la conseillère municipale, la politique est plutôt l’expression des besoins et elle donne son point de vue sur la meilleure manière de les régler : «Je pense que nous les jeunes, après avoir constaté que les valeurs s’effritent et que le pays est en train de sombrer, devons nous lever parce que c’est toujours les mêmes personnes qui font du bruit. Et c’est par conviction que nous apportons notre contribution à la nation».
Pour Dada, l’argent est le seul responsable de cette perversion des valeurs : «des gens perdent leur dignité et sont capables de mettre en mal leurs prochains par des insanités pour qu’elles se retrouvent en prison ou qu’ils perdent leurs emplois en oubliant qu’un jour viendra ou tout le monde répondra de ses actes, bons ou mauvais».
Sur le silence de son leader Idrissa Seck depuis qu’il a été débarqué de la Présidence «par les faucons du palais», elle estime juste que le temps de parler n’est pas encore arrivé. Pour elle, son leader était la bête noire à abattre car «des postes de complaisance», ne seraient pas occupés aujourd’hui «par des incapables s’il était toujours en place». Enfin, un appel a été lancée aux jeunes par la responsable «rewmiste» pour que l’avenir du pays ne soit pas compromis par les politiques et aussi par la mise en place «d‘hommes qu’il faut à des places qu’il faut», et que «les jeunes agissent au lieu de se plaindre en prouvant leurs compétences à relever les défis».
rewmi
«D’anciennes personnalités qui étaient des porte-voix dans le gouvernement et qui ont été radiées par la suite ont montré toutes leurs limites en se retournant contre leur parti d’origine». Cela est la conséquence d’une mauvaise politique selon Aida Mboup qui appuie : «cela est l’exemple patent que leurs intérêts sont la seule chose qui intéresse ces personnes». Pour la conseillère municipale, la politique est plutôt l’expression des besoins et elle donne son point de vue sur la meilleure manière de les régler : «Je pense que nous les jeunes, après avoir constaté que les valeurs s’effritent et que le pays est en train de sombrer, devons nous lever parce que c’est toujours les mêmes personnes qui font du bruit. Et c’est par conviction que nous apportons notre contribution à la nation».
Pour Dada, l’argent est le seul responsable de cette perversion des valeurs : «des gens perdent leur dignité et sont capables de mettre en mal leurs prochains par des insanités pour qu’elles se retrouvent en prison ou qu’ils perdent leurs emplois en oubliant qu’un jour viendra ou tout le monde répondra de ses actes, bons ou mauvais».
Sur le silence de son leader Idrissa Seck depuis qu’il a été débarqué de la Présidence «par les faucons du palais», elle estime juste que le temps de parler n’est pas encore arrivé. Pour elle, son leader était la bête noire à abattre car «des postes de complaisance», ne seraient pas occupés aujourd’hui «par des incapables s’il était toujours en place». Enfin, un appel a été lancée aux jeunes par la responsable «rewmiste» pour que l’avenir du pays ne soit pas compromis par les politiques et aussi par la mise en place «d‘hommes qu’il faut à des places qu’il faut», et que «les jeunes agissent au lieu de se plaindre en prouvant leurs compétences à relever les défis».
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