Ainsi, à un des policiers qui menaçait de l’arrêter s’il ne quitte pas les lieux, le secrétaire général du Parti de l’indépendance et du travail (Pit) lance tout de go : « Je ne parle même pas de prison, mais je suis prêt à mourir. » Parce que, pour Dansokho, le droit de marcher est sacré.
Il a accusé les policiers de soutenir Abdoulaye Wade qui est, selon lui, en train de violer la Constitution. « Non seulement il viole la Constitution, mais il a volé l’argent du pays », a dit Dansokho qui se demande, d’ailleurs, quel crime il a commis pour que les policiers pensent l’arrêter.
« Le seul crime que nous avons commis, c’est d’avoir élu Abdoulaye Wade », a-t-il soutenu. Et d’avertir : « C’est nous qui l’avons élu, c’est nous qui allons le faire partir. »
Il a accusé les policiers de soutenir Abdoulaye Wade qui est, selon lui, en train de violer la Constitution. « Non seulement il viole la Constitution, mais il a volé l’argent du pays », a dit Dansokho qui se demande, d’ailleurs, quel crime il a commis pour que les policiers pensent l’arrêter.
« Le seul crime que nous avons commis, c’est d’avoir élu Abdoulaye Wade », a-t-il soutenu. Et d’avertir : « C’est nous qui l’avons élu, c’est nous qui allons le faire partir. »