« Face aux dérives du pouvoir, qui s’aggravent de jour en jour, la consolidation de Bennoo Siggil Senegaal, porte-étendard de l’opposition nationale contre ce régime, s’avère de plus en plus nécessaire », déclarent les deux partis qui, pourtant, il y a quelques jours se sont démarqués de l’initiative de la palteforme de l’opposition, visant à aller à la Présidentielle avec un « candidat de l’unité et de rassemeblement », et assortie de la souscription au schéma d’une transition « la plus courte possible ».
Le communiqué sanctionnant la rencontre entre AJ et APR indique que celle-là s’inscrit « dans le cadre d’un échange politique sur des questions majeures portant sur la situation nationale ». C’est ainsi que « les deux délégations ont exprimé leur totale convergence de vue sur la grave crise politique, économique, sociale et culturelle qui sévit au Sénégal du fait de la politique ruineuse initiée et mise en œuvre par Abdoulaye Wade et son système ».
Leur diagnostic commun de la situation nationale a insisté sur la faillite de l’Etat qui se caractérise par, entre autres, « la déliquescence de l’économie nationale dans tous ses secteurs et la mise à mort des secteurs sociaux de base, la santé, l’éducation, l’énergie, et les désastreuses campagnes agricoles qui ont fini d’asphyxier le monde rural et d’appauvrir les paysans ; les menaces qui pèsent sur les Institutions de la République et les libertés démocratiques ; l’option de violence institutionnelle comme mode de gestion du pays et comme stratégie en vue d’un hold up électoral en 2012 ».
L’APR et AJ s’accordent à lutter contre la tendance à la « fascisation » du régime « qui fait de la violence Institutionnelle, son ultime recours, comme en atteste l’assassinat du jeune Malick Bâ par les forces de l’ordre à Sangalkam ».
Les deux partis ont à coeur de renforcer leur coopération bilatérale et leur unité d’action, sur toutes les questions relatives au processus électoral dans le sens de la transparence des élections. Ils prévoient la mise en place d’un comité Paritaire Permanent, comme cadre de concertation et d’échanges pour renforcer l’unité, l’action et la solidarité entre les deux partis.
Ferloo.com
Le communiqué sanctionnant la rencontre entre AJ et APR indique que celle-là s’inscrit « dans le cadre d’un échange politique sur des questions majeures portant sur la situation nationale ». C’est ainsi que « les deux délégations ont exprimé leur totale convergence de vue sur la grave crise politique, économique, sociale et culturelle qui sévit au Sénégal du fait de la politique ruineuse initiée et mise en œuvre par Abdoulaye Wade et son système ».
Leur diagnostic commun de la situation nationale a insisté sur la faillite de l’Etat qui se caractérise par, entre autres, « la déliquescence de l’économie nationale dans tous ses secteurs et la mise à mort des secteurs sociaux de base, la santé, l’éducation, l’énergie, et les désastreuses campagnes agricoles qui ont fini d’asphyxier le monde rural et d’appauvrir les paysans ; les menaces qui pèsent sur les Institutions de la République et les libertés démocratiques ; l’option de violence institutionnelle comme mode de gestion du pays et comme stratégie en vue d’un hold up électoral en 2012 ».
L’APR et AJ s’accordent à lutter contre la tendance à la « fascisation » du régime « qui fait de la violence Institutionnelle, son ultime recours, comme en atteste l’assassinat du jeune Malick Bâ par les forces de l’ordre à Sangalkam ».
Les deux partis ont à coeur de renforcer leur coopération bilatérale et leur unité d’action, sur toutes les questions relatives au processus électoral dans le sens de la transparence des élections. Ils prévoient la mise en place d’un comité Paritaire Permanent, comme cadre de concertation et d’échanges pour renforcer l’unité, l’action et la solidarité entre les deux partis.
Ferloo.com
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
