Ces derniers jours notre parti, l’Alliance Pour la République (APR) s’est illustré par des scènes de violences très largement relayées par la presse. Ce qui s’est passé est regrettable et beaucoup de responsables du parti l’ont dénoncé à juste titre.
Sans chercher à justifier quoi que ce soit, il faut tout de même rappeler que les violences politiques ont longtemps émaillé et rythmé la vie politique sénégalaise bien avant l’indépendance jusqu’à nos jours. L’APR n’a pas encore connu le niveau de violence et de confrontations qu’ont connu certains partis au pouvoir comme le Parti Socialiste (PS) et le Parti Démocratique Sénégalais (PDS).
Ceci dit, l’APR n’est pas et ne doit pas être un parti comme les autres. L’APR est le parti du Président de la République, Macky SALL. Celui-là même qui, à peine élu, a instruit avec insistance la restauration des valeurs républicaines et a fait de l’éthique et de la bonne gouvernance les fondamentaux dans la conduite des affaires publiques.
Notre président, compte tenu de ses ambitions pour le pays, des ruptures enclenchées et de sa vision pour l’émergence, ne mérite pas un parti où la violence serait le moyen le plus usité pour transcender les divergences nées des d’ambitions certes légitimes mais…mal maitrisées.
Nous devons donner l’exemple à tous les niveaux, aussi bien dans la gouvernance économique et sociale que dans la gestion et le fonctionnement d’un parti politique.
Etre républicain c’est tout au moins accepter et respecter la règle de base de la démocratie : soumission de la minorité à la majorité et gouvernance de la majorité dans le respect des droits de la minorité.
Et c’est là où le bât blesse. Pour respecter des règles il faut que ces règles existent au préalable. Comme on aime le répéter, le parti n’est pas structuré et organisé. Certains parlent de structuration horizontale. C’est un non sens. La structuration d’un parti est toujours verticale, si non il n’y a pas de structuration du tout. Structurer c’est créer des instances de base, des instances intermédiaires et des instances supérieures. Tel n’est pas le cas de l’APR qui est un cas atypique de parti au pouvoir.
Ce qui se passe aujourd’hui était malheureusement prévisible et c’est là où la responsabilité de la direction du parti est engagée. Il n’y a pas de règles et de mécanismes connus et convenus pour départager les postulants à certains niveaux de responsabilités. Il n’y a pas de critères objectifs permettant aux superviseurs de mesurer la représentativité des candidats à défaut de consensus.
La vente des cartes et la validation des comités de base étant suspendues, le nombre de militants et de comités contrôlés n’étaient plus des critères pour identifier les candidats les plus représentatifs. Plusieurs candidats ont eu alors recours à d’autres stratégies pour en mettre plein la vue aux superviseurs : remplissage des salles pour de simples réunions d’information, communication et agitation à outrance ou tout simplement démonstration de force et recrutement de nervis pour empêcher des adversaires à accéder aux lieux de concertation. Telle est aujourd’hui la réalité de la vie de notre parti dans plusieurs localités.
Nous avions deux ans pour organiser et structurer convenablement le parti. Nous avions deux ans pour former les militants, encrer d’avantage les fondamentaux de la démocratie interne, assoir nos valeurs républicaines et gérer efficacement l’affluence de militants qui frappent à nos portes et dont nous avons besoin pour gagner les élections présentes et futures.
L’opportunité nous était donnée ces deux derniers années de construire un parti fort, combatif et solidaire. C’est justement un parti comme celui-là, fort et combatif qui pourrait convenablement capitaliser et rentabiliser le potentiel de sympathie exceptionnelle dont jouit le Président de la République au prés des populations .Un tel parti serait en mesure de contenir et de réguler dans une parfaite discipline les compétitions et les adversités internes en évitant ainsi les spectacles regrettables qu’on offre aujourd’hui à l’opinion.
S’il ne tenait qu’au Président de la République, le parti serait structuré et organisé depuis fort longtemps. Mais à chaque fois que des décisions allant dans ce sens sont prises, des responsables bien placés mettent en œuvre des stratégies et des arguments pour retarder l’échéance. Le dernier argument développé c’est qu’il y a un risque d’implosion à structurer le parti à la veille des élections locales. Nous demeurons convaincus que le risque d’implosion est encore plus grand si on ne structure pas et qu’on ne définit pas des règles du jeu. Les violences et affrontements fratricides constatées un peu partout le prouve largement. Si les règles étaient clairement définies, la direction du parti ne ferait qu’arbitrer et gérer les frustrations de responsables minorisés. Cet exercice serait plus facile à réaliser.
Présentement la direction doit gérer la question des investitures avec beaucoup de prudence et dextérité en sauvegardant, avec le plus grand scrupule, les intérêts majeurs du moment du parti, à savoir, l’unité, la solidarité et la combativité.
Pour conduire les listes aux prochaines élections locales il faut laisser la base choisir des responsables représentatifs selon elle et auxquels elle a elle-même confiance.
Les capacités d’occupation des médias, la proximité avec de hauts responsables du parti ou des capacités de lobbying ne doivent pas motiver le choix des têtes de listes. Ces élections-là, ce sont des élections locales pour la gestion des affaires locales. Il faut donc que le choix de la base soit rigoureusement respecté. Ce n’est pas seulement une question d’efficacité électorale mais aussi une question de respect des militants de base qui sont la cheville ouvrière du parti. On ne doit pas leur faire l’injure de penser qu’ils ne sont pas capables de choisir les meilleurs responsables capables de les représenter et de gérer leurs affaires locales. Quel que soit le niveau de responsabilité dans le parti nous sommes tous d’égale dignité, d’égal engagement pour le parti et d’égale détermination pour accompagner et soutenir le Président.
Après ces locales, il faut absolument structurer et organiser le parti. La prétendue structuration horizontale, contrairement aux apparences est une mesure anti démocratique qui isole totalement le militant de base et le prive de son droit d’exprimer son opinion. Il n’y a pas de courroies de transmission qui permettent d’associer les militants de bases à la prise des décisions majeures.
La proximité avec des responsables du parti, la traversé du désert avec le Président pendant les périodes difficiles, les sacrifices personnels consentis en son temps pour la construction du parti ne doivent plus être les seules et uniques raisons suffisantes pour siéger au directoire ou autres stations de responsabilités du parti. Quoique ces considérations soient d’une certaine importance. Dans une perspective de réorganisation sur des fondements solides et non factices, le Président doit rebattre les cartes, renvoyer tout le monde à la base pour que les dirigeants du parti soient l’émanation de la base. Cela n’exclut pas la possibilité qui peut être offerte au Président de copter des compétences es qualités compte tenu de ce que celles-ci peuvent apporter au parti en termes d’organisation et de réflexion stratégique.
En effet, tant que des personnes pensent pouvoir négocier leur place dans les instances de direction en référence de ceci ou de cela, sans disposer d’une base solide, le travail à la base sera escamoté et très peu de considération sera accordée aux militants. C’est une base sociale forte, motivée et engagée qui garantira la pérennisation du parti et des victoires durables.
Il faut que l’APR réussisse sa mutation de parti d’opposition pour la conquête du pouvoir, vers un parti de gestion du pouvoir. Pour conquérir le pouvoir, le Président du parti avait imaginé une stratégie d’une redoutable efficacité. Il s’agissait d’installer un peu partout dans les villages et dans les quartiers des comités de base opérationnels, sans lien organique et sans état major centralisé au niveau départemental ou régional, mais des comités soudés autour d’un objectif commun : bouter dehors l’ancien régime et installer Macky SALL à la tête de l’Etat. C’est une technique connue en science militaire sous le nom de guérilla. Elle consiste à attaquer l’ennemi par de petits groupes très mobiles difficiles à localiser et à identifier pour, à terme, déstabiliser l’ennemi.
Cela a admirablement réussi à l’APR à la surprise de plusieurs acteurs de la vie politique. C’était la meilleure façon de venir à bout du régime d’Abdoulaye Wade, qui disposait de moyens gigantesques et qui n’aurait pas hésité à en user pour décapiter des états major départementaux ou régionaux qui se seraient clairement distingués.
Maintenant le contexte a changé. L’APR est devenue un parti au pouvoir. Au risque de faillir à sa mission elle doit réussir, disions- nous, sa mutation.
Pour revenir à la comparaison avec la science militaire, on peut constater que tout mouvement, force sociale ou parti politique qui arrive au pouvoir par la guérilla commence tout d’abord par restructurer son armée pour assumer sa nouvelle mission. Il crée un état major centralisé, des zones, des unités spécialisées des bataillons et des compagnies. Toute armée issue de la guérilla qui ne réussit pas cette mutation s’installera durablement dans l’instabilité. Le cas de la Guinée Bissau le prouve éloquemment.
Tout pour la structuration et l’organisation du parti !. Tel devrait être notre mot d’ordre. Nous avons le plus grand nombre de militants, mais on a du mal à sentir la vitalité du parti en dehors des réunions périodiques du directoire et des déclaration isolées de certains responsables qui, le plus souvent, réagissent à certaines attaques ou critiques de manière tout aussi isolée .L’APR doit être un parti avant-gardiste qui anticipe, oriente engage les débats au lieu de rester souvent dans la défensive.
Comme nous le disions plus haut, nous devons donner l’APR en exemple, en termes d’organisation, de discipline de parti, d’animation, de formation des jeunes, de réflexion, de combativité et d’engagement patriotique.
C’est un tel parti dont le Président de la République a besoin, c’est un tel parti qu’il mérite et qui est en cohérence avec sa vision. Et nous pensons que tout militant convaincu de l’APR devrait travailler à l’émergence d’un tel parti.
L’APR structurée, convenablement administrée et animée sera au rendez-vous du Sénégal émergent. Il s’installera durablement au pouvoir aux services des générations futures et de la république. Telle est notre sincère et intime conviction !!!
Oumar BA
Membre de la CCR de Fatick
Responsable politique à Ndiob
Sans chercher à justifier quoi que ce soit, il faut tout de même rappeler que les violences politiques ont longtemps émaillé et rythmé la vie politique sénégalaise bien avant l’indépendance jusqu’à nos jours. L’APR n’a pas encore connu le niveau de violence et de confrontations qu’ont connu certains partis au pouvoir comme le Parti Socialiste (PS) et le Parti Démocratique Sénégalais (PDS).
Ceci dit, l’APR n’est pas et ne doit pas être un parti comme les autres. L’APR est le parti du Président de la République, Macky SALL. Celui-là même qui, à peine élu, a instruit avec insistance la restauration des valeurs républicaines et a fait de l’éthique et de la bonne gouvernance les fondamentaux dans la conduite des affaires publiques.
Notre président, compte tenu de ses ambitions pour le pays, des ruptures enclenchées et de sa vision pour l’émergence, ne mérite pas un parti où la violence serait le moyen le plus usité pour transcender les divergences nées des d’ambitions certes légitimes mais…mal maitrisées.
Nous devons donner l’exemple à tous les niveaux, aussi bien dans la gouvernance économique et sociale que dans la gestion et le fonctionnement d’un parti politique.
Etre républicain c’est tout au moins accepter et respecter la règle de base de la démocratie : soumission de la minorité à la majorité et gouvernance de la majorité dans le respect des droits de la minorité.
Et c’est là où le bât blesse. Pour respecter des règles il faut que ces règles existent au préalable. Comme on aime le répéter, le parti n’est pas structuré et organisé. Certains parlent de structuration horizontale. C’est un non sens. La structuration d’un parti est toujours verticale, si non il n’y a pas de structuration du tout. Structurer c’est créer des instances de base, des instances intermédiaires et des instances supérieures. Tel n’est pas le cas de l’APR qui est un cas atypique de parti au pouvoir.
Ce qui se passe aujourd’hui était malheureusement prévisible et c’est là où la responsabilité de la direction du parti est engagée. Il n’y a pas de règles et de mécanismes connus et convenus pour départager les postulants à certains niveaux de responsabilités. Il n’y a pas de critères objectifs permettant aux superviseurs de mesurer la représentativité des candidats à défaut de consensus.
La vente des cartes et la validation des comités de base étant suspendues, le nombre de militants et de comités contrôlés n’étaient plus des critères pour identifier les candidats les plus représentatifs. Plusieurs candidats ont eu alors recours à d’autres stratégies pour en mettre plein la vue aux superviseurs : remplissage des salles pour de simples réunions d’information, communication et agitation à outrance ou tout simplement démonstration de force et recrutement de nervis pour empêcher des adversaires à accéder aux lieux de concertation. Telle est aujourd’hui la réalité de la vie de notre parti dans plusieurs localités.
Nous avions deux ans pour organiser et structurer convenablement le parti. Nous avions deux ans pour former les militants, encrer d’avantage les fondamentaux de la démocratie interne, assoir nos valeurs républicaines et gérer efficacement l’affluence de militants qui frappent à nos portes et dont nous avons besoin pour gagner les élections présentes et futures.
L’opportunité nous était donnée ces deux derniers années de construire un parti fort, combatif et solidaire. C’est justement un parti comme celui-là, fort et combatif qui pourrait convenablement capitaliser et rentabiliser le potentiel de sympathie exceptionnelle dont jouit le Président de la République au prés des populations .Un tel parti serait en mesure de contenir et de réguler dans une parfaite discipline les compétitions et les adversités internes en évitant ainsi les spectacles regrettables qu’on offre aujourd’hui à l’opinion.
S’il ne tenait qu’au Président de la République, le parti serait structuré et organisé depuis fort longtemps. Mais à chaque fois que des décisions allant dans ce sens sont prises, des responsables bien placés mettent en œuvre des stratégies et des arguments pour retarder l’échéance. Le dernier argument développé c’est qu’il y a un risque d’implosion à structurer le parti à la veille des élections locales. Nous demeurons convaincus que le risque d’implosion est encore plus grand si on ne structure pas et qu’on ne définit pas des règles du jeu. Les violences et affrontements fratricides constatées un peu partout le prouve largement. Si les règles étaient clairement définies, la direction du parti ne ferait qu’arbitrer et gérer les frustrations de responsables minorisés. Cet exercice serait plus facile à réaliser.
Présentement la direction doit gérer la question des investitures avec beaucoup de prudence et dextérité en sauvegardant, avec le plus grand scrupule, les intérêts majeurs du moment du parti, à savoir, l’unité, la solidarité et la combativité.
Pour conduire les listes aux prochaines élections locales il faut laisser la base choisir des responsables représentatifs selon elle et auxquels elle a elle-même confiance.
Les capacités d’occupation des médias, la proximité avec de hauts responsables du parti ou des capacités de lobbying ne doivent pas motiver le choix des têtes de listes. Ces élections-là, ce sont des élections locales pour la gestion des affaires locales. Il faut donc que le choix de la base soit rigoureusement respecté. Ce n’est pas seulement une question d’efficacité électorale mais aussi une question de respect des militants de base qui sont la cheville ouvrière du parti. On ne doit pas leur faire l’injure de penser qu’ils ne sont pas capables de choisir les meilleurs responsables capables de les représenter et de gérer leurs affaires locales. Quel que soit le niveau de responsabilité dans le parti nous sommes tous d’égale dignité, d’égal engagement pour le parti et d’égale détermination pour accompagner et soutenir le Président.
Après ces locales, il faut absolument structurer et organiser le parti. La prétendue structuration horizontale, contrairement aux apparences est une mesure anti démocratique qui isole totalement le militant de base et le prive de son droit d’exprimer son opinion. Il n’y a pas de courroies de transmission qui permettent d’associer les militants de bases à la prise des décisions majeures.
La proximité avec des responsables du parti, la traversé du désert avec le Président pendant les périodes difficiles, les sacrifices personnels consentis en son temps pour la construction du parti ne doivent plus être les seules et uniques raisons suffisantes pour siéger au directoire ou autres stations de responsabilités du parti. Quoique ces considérations soient d’une certaine importance. Dans une perspective de réorganisation sur des fondements solides et non factices, le Président doit rebattre les cartes, renvoyer tout le monde à la base pour que les dirigeants du parti soient l’émanation de la base. Cela n’exclut pas la possibilité qui peut être offerte au Président de copter des compétences es qualités compte tenu de ce que celles-ci peuvent apporter au parti en termes d’organisation et de réflexion stratégique.
En effet, tant que des personnes pensent pouvoir négocier leur place dans les instances de direction en référence de ceci ou de cela, sans disposer d’une base solide, le travail à la base sera escamoté et très peu de considération sera accordée aux militants. C’est une base sociale forte, motivée et engagée qui garantira la pérennisation du parti et des victoires durables.
Il faut que l’APR réussisse sa mutation de parti d’opposition pour la conquête du pouvoir, vers un parti de gestion du pouvoir. Pour conquérir le pouvoir, le Président du parti avait imaginé une stratégie d’une redoutable efficacité. Il s’agissait d’installer un peu partout dans les villages et dans les quartiers des comités de base opérationnels, sans lien organique et sans état major centralisé au niveau départemental ou régional, mais des comités soudés autour d’un objectif commun : bouter dehors l’ancien régime et installer Macky SALL à la tête de l’Etat. C’est une technique connue en science militaire sous le nom de guérilla. Elle consiste à attaquer l’ennemi par de petits groupes très mobiles difficiles à localiser et à identifier pour, à terme, déstabiliser l’ennemi.
Cela a admirablement réussi à l’APR à la surprise de plusieurs acteurs de la vie politique. C’était la meilleure façon de venir à bout du régime d’Abdoulaye Wade, qui disposait de moyens gigantesques et qui n’aurait pas hésité à en user pour décapiter des états major départementaux ou régionaux qui se seraient clairement distingués.
Maintenant le contexte a changé. L’APR est devenue un parti au pouvoir. Au risque de faillir à sa mission elle doit réussir, disions- nous, sa mutation.
Pour revenir à la comparaison avec la science militaire, on peut constater que tout mouvement, force sociale ou parti politique qui arrive au pouvoir par la guérilla commence tout d’abord par restructurer son armée pour assumer sa nouvelle mission. Il crée un état major centralisé, des zones, des unités spécialisées des bataillons et des compagnies. Toute armée issue de la guérilla qui ne réussit pas cette mutation s’installera durablement dans l’instabilité. Le cas de la Guinée Bissau le prouve éloquemment.
Tout pour la structuration et l’organisation du parti !. Tel devrait être notre mot d’ordre. Nous avons le plus grand nombre de militants, mais on a du mal à sentir la vitalité du parti en dehors des réunions périodiques du directoire et des déclaration isolées de certains responsables qui, le plus souvent, réagissent à certaines attaques ou critiques de manière tout aussi isolée .L’APR doit être un parti avant-gardiste qui anticipe, oriente engage les débats au lieu de rester souvent dans la défensive.
Comme nous le disions plus haut, nous devons donner l’APR en exemple, en termes d’organisation, de discipline de parti, d’animation, de formation des jeunes, de réflexion, de combativité et d’engagement patriotique.
C’est un tel parti dont le Président de la République a besoin, c’est un tel parti qu’il mérite et qui est en cohérence avec sa vision. Et nous pensons que tout militant convaincu de l’APR devrait travailler à l’émergence d’un tel parti.
L’APR structurée, convenablement administrée et animée sera au rendez-vous du Sénégal émergent. Il s’installera durablement au pouvoir aux services des générations futures et de la république. Telle est notre sincère et intime conviction !!!
Oumar BA
Membre de la CCR de Fatick
Responsable politique à Ndiob