Accompagné de certains conseillers municipaux et les membres de son cabinet, l’édile de la ville de Kaolack, Madieyna Diouf était hier au chevet des sinistrés de la commune. Mises dans la rue par les fortes pluies, enregistrées dans la zone depuis le début de l’hivernage, les victimes ont reçu vingt-deux (22) tonnes de riz. « Il est de notre devoir de venir soutenir ces populations logées dans les écoles. Nous savons ce qu’elles vivent, car, avant d’arriver sur les lieux, j’avais envoyé une équipe pour venir constater la situation. Ensuite, avec l’ouverture des classes qui frappe à nos portes, nous allons mettre les bouchées doubles pour procéder au pompage des eaux dans leurs maisons, afin que ces Kaolackois puissent rentrer chez eux. Ce pompage des eaux, qui sera accompagné par des opérations de désinfection, ainsi que de désherbage, constitue seulement la solution d’urgence. Mais pour parer à ces inondations qui deviennent récurrentes, il faut l’intervention du chef de l’Etat » a déclaré le numéro 2 de l’Alliance des forces de progrès.
Convaincu que pour que sa commune voie le bout du tunnel, il faut un plan spécial d’investissement, le maire indique avoir transmis une correspondance au lendemain de son installation au chef de l’Etat pour des mesures draconiennes d’assainissement et d’aménagement de la Ville. « La commune n’a pas les moyens financiers suffisants pour endiguer les inondations, qui ont été constatées lors des hivernages précédents. Déjà, pour le Crd spécial sur la problématique, le gouverneur et les Services techniques avaient évalué l’ardoise financière du plan d’urgence pour un montant de 30 à 40 milliards F Cfa », ajoute le maire progressiste. Qui juge normal que Kaolack puisse disposer d’un programme spécial à l’instar de Thiès, Saint-Louis, Dakar ou Fatick.
Pour le nombre total de sinistrés, dont la majeur partie séjourne au Lycée Waldiodio Ndiaye, les Servies de la commune comptabilisent 712 cas, émanant de plus de 114 familles, toutes logées dans une dizaine d’établissements scolaires.
Souleymne Ndéné Ndiaye attendu aujourd’hui
C’est sur place que les autorités administratives ont informé les sinistrés de la venue du chef du gouvernement, qui, dit-on, va apporter l’aide de l’Etat. Souleymane Ndéné Ndiaye, qui rend visite aux différents sinistrés éparpillés dans les écoles, va certainement apporter la position de l’état concernant l’appel du pied du maire Madieyne Diouf lancé au président de la République. Toute de même, la grande équation, qui reste un signe indien à vaincre pour les nombreuses victimes qui occupent les écoles, constitue l’approche de l’ouverture des classes.
Papa Samba SENE l'asquotidien
Convaincu que pour que sa commune voie le bout du tunnel, il faut un plan spécial d’investissement, le maire indique avoir transmis une correspondance au lendemain de son installation au chef de l’Etat pour des mesures draconiennes d’assainissement et d’aménagement de la Ville. « La commune n’a pas les moyens financiers suffisants pour endiguer les inondations, qui ont été constatées lors des hivernages précédents. Déjà, pour le Crd spécial sur la problématique, le gouverneur et les Services techniques avaient évalué l’ardoise financière du plan d’urgence pour un montant de 30 à 40 milliards F Cfa », ajoute le maire progressiste. Qui juge normal que Kaolack puisse disposer d’un programme spécial à l’instar de Thiès, Saint-Louis, Dakar ou Fatick.
Pour le nombre total de sinistrés, dont la majeur partie séjourne au Lycée Waldiodio Ndiaye, les Servies de la commune comptabilisent 712 cas, émanant de plus de 114 familles, toutes logées dans une dizaine d’établissements scolaires.
Souleymne Ndéné Ndiaye attendu aujourd’hui
C’est sur place que les autorités administratives ont informé les sinistrés de la venue du chef du gouvernement, qui, dit-on, va apporter l’aide de l’Etat. Souleymane Ndéné Ndiaye, qui rend visite aux différents sinistrés éparpillés dans les écoles, va certainement apporter la position de l’état concernant l’appel du pied du maire Madieyne Diouf lancé au président de la République. Toute de même, la grande équation, qui reste un signe indien à vaincre pour les nombreuses victimes qui occupent les écoles, constitue l’approche de l’ouverture des classes.
Papa Samba SENE l'asquotidien