“Nous avons tous constaté depuis 2021, qu’il existe des maisons closes et la présence de femmes qui s’adonnent à l’activité de prostitution. Cela crée des problèmes de santé publique et de sécurité. C’est pourquoi nous avons mis en place un collectif pour lutter contre ces pratiques”, a déclaré Mamadou Nigawa Dembélé, président du Conseil communal de la jeunesse de Ourossogui.
S’exprimant au cours d’une assemblée générale tenue à la place dite “Diaka”, en présence de beaucoup de religieux, il a assuré de l’engagement du collectif qu’il dirige, à mener le “combat pour une ville saine”.
La stratégie retenue va consister à “dénoncer les propriétaires des maisons louées pour ces pratiques, en collaboration avec la gendarmerie”, a-t-il dit, en faisant observer que d’autres endroits non encore identifiés, continuent d’accueillir des prostituées.
“Une fois ces dernières identifiées, nous allons pouvoir définitivement éradiquer ce fléau dans la ville de Ourossogui. Dans cette lutte, nous avons échangé avec les autorités administratives, dont le préfet de Matam et les Forces de défense et de sécurité, qui sont entièrement satisfaits”, a lancé M. Dembélé.
Selon le président du Conseil communal de la jeunesse de Ourossogui, le phénomène des maisons closes et de la prostitution “a un peu diminué” depuis la création du collectif, il y a une quinzaine de jours, les femmes s’adonnant à cette pratique étant devenues “presque invisibles dans la ville”.
S’exprimant au cours d’une assemblée générale tenue à la place dite “Diaka”, en présence de beaucoup de religieux, il a assuré de l’engagement du collectif qu’il dirige, à mener le “combat pour une ville saine”.
La stratégie retenue va consister à “dénoncer les propriétaires des maisons louées pour ces pratiques, en collaboration avec la gendarmerie”, a-t-il dit, en faisant observer que d’autres endroits non encore identifiés, continuent d’accueillir des prostituées.
“Une fois ces dernières identifiées, nous allons pouvoir définitivement éradiquer ce fléau dans la ville de Ourossogui. Dans cette lutte, nous avons échangé avec les autorités administratives, dont le préfet de Matam et les Forces de défense et de sécurité, qui sont entièrement satisfaits”, a lancé M. Dembélé.
Selon le président du Conseil communal de la jeunesse de Ourossogui, le phénomène des maisons closes et de la prostitution “a un peu diminué” depuis la création du collectif, il y a une quinzaine de jours, les femmes s’adonnant à cette pratique étant devenues “presque invisibles dans la ville”.