En fait, ce sera l’une des premières conséquences de la débâcle du Parti démocratique sénégalais (Pds) et de ses alliés de la coalition Sopi 2009. En effet, dans pratiquement toutes les grandes villes du Sénégal, la coalition Sopi 2009 a été laminée, malgré les immenses moyens déployés par le président Abdoulaye Wade qui s’est d’ailleurs personnellement impliqué dans la campagne.
Mieux, lors du dernier meeting de la coalition Sopi 2009 qu’il a, lui-même, présidé à Dakar, le secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (Pds) avait annoncé la couleur en indiquant que ses consignes n’avaient pas été respectées pour ce qui est des investitures sur les listes de la coalition Sopi 2009. Wade, accueilli partout par des brassards rouges, craignait ainsi les votes sanctions brandies par des mécontents. Ce qui s’est finalement vérifié sur le terrain. D’autant plus que beaucoup de responsables libéraux lient la défaite aux élections locales, au mécontentement de certains de leurs « frères ».
Et certains n’ont pas perdu de temps pour réclamer des sanctions contre les « fractionnistes », mais aussi les perdants qui sont invités à démissionner. L’on se rappelle, en outre, que le président Abdoulaye Wade avait annoncé, lors de la campagne, la tenue d’une conférence de presse dès après les élections pour donner sa lecture de tout ce qui s’est passé.
- Par Nettali -
Mieux, lors du dernier meeting de la coalition Sopi 2009 qu’il a, lui-même, présidé à Dakar, le secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (Pds) avait annoncé la couleur en indiquant que ses consignes n’avaient pas été respectées pour ce qui est des investitures sur les listes de la coalition Sopi 2009. Wade, accueilli partout par des brassards rouges, craignait ainsi les votes sanctions brandies par des mécontents. Ce qui s’est finalement vérifié sur le terrain. D’autant plus que beaucoup de responsables libéraux lient la défaite aux élections locales, au mécontentement de certains de leurs « frères ».
Et certains n’ont pas perdu de temps pour réclamer des sanctions contre les « fractionnistes », mais aussi les perdants qui sont invités à démissionner. L’on se rappelle, en outre, que le président Abdoulaye Wade avait annoncé, lors de la campagne, la tenue d’une conférence de presse dès après les élections pour donner sa lecture de tout ce qui s’est passé.
- Par Nettali -