L’Alliance des forces de progrès (Afp) a n’a pas caché son indignation face aux attaques du Président de la République, Me Wade contre le Professeur Amadou Mahtar Mbow, ancien Directeur Général de l’Unesco, « Président courageux et méthodique des Assises Nationales qui n’ont pas fini de provoquer des éruptions cutanées chez les pseudos libéraux et leur chef », lit-on dans un communiqué en date du 26 octobre. Pour les camarades de Moustapha Niasse, « au lieu de se féliciter du combat glorieux que M. Amadou Mahtar Mbow a mené courageusement à la tête de l’Unesco, au service de la vérité, de la justice, de l’égale dignité des peuples et des cultures, voilà que Maître Wade, telle l’incarnation de l’anti Don Quichotte, rue sur une personnalité qui a marqué de son sceau l’histoire du 20ème siècle, personnalité dont le parcours admirable à tous points de vue, fait la fierté, non seulement des patriotes sénégalais et du Tiers Monde, mais de tous les hommes épris de paix et capables de saluer des qualités indéniables chez leurs semblables, malgré les vicissitudes de l’adversité ».
On ne peut pas nier l’histoire individuelle de ces Sénégalais…..
L’Unesco ayant été historiquement le produit d’un malentendu, M. Amadou Mahtar Mbow a eu le mérite, selon les « Progressistes », « d’affronter ce malentendu en se plaçant fermement sur le sillage de l’Acte constitutif de cette Organisation, qui a fini par retomber dans la réalité des rapports de force qui régissent le monde ».
C’est pourquoi l’Afp, engage Maître Abdoulaye Wade à changer de grille de lecture, « malgré son agressivité clinique, qui l’amène à nier l’histoire individuelle exemplaire de tous les Sénégalais de valeur qui brillent sur la scène internationale, comme Amadou Mahtar Mbow, Moustapha Niasse, Jacques Diouf, Ibrahima Fall, Moussa Touré, entre autres. C’est bien pour cette raison que le Sénégal est moins présent dans les Organisations internationales, depuis l’avènement de Maître Wade ».
Durer, c’est tomber…
Pour les « Progressistes », cette logique dont la seule boussole est constituée par les intérêts d’un clan, a également amené Maître Wade à proposer, en l’espace de quelques jours, deux formats du dialogue politique totalement différents. « Même les actes posés à l’échelle gouvernementale obéissent à l’obsessionnelle préoccupation : durer. Or comme le disait Régis Debré, « durer, c’est tomber », souligne la même source.
Dénoncer l’esprit de caporalisation
Aussi, le Bureau politique de l’AFP dénonce-t-il, avec la dernière énergie, « l’esprit de caporalisation des tenants du pouvoir qui n’épargne ni le mouvement navétane ni les paysans dotés d’un ministère de la syndicalisation, ni les malheureux pêcheurs en provenance de Guinée-Bissau à qui un ministre a demandé cyniquement de voter pour les prédateurs impénitents, pour dix millions de francs CFA ».
Les « Progressistes » lancent un appel à tous les partenaires de Bennoo Siggil Senegaal, à tous les patriotes et à tous les démocrates « pour s’inscrire, dans l’unité et la loyauté, dans des perspectives de lutte afin de gagner ensemble et de gouverner ensemble, au profit de l’intérêt général ».
L’aveu de Me Madické Niang
Après la parodie électorale de février 2007, après les sommes astronomiques englouties dans l’opacité totale par l’ANOCI, voilà que l’affaire Segura, condensé de médiocrité inattendue, pollue les relations du Sénégal avec les bailleurs de fonds, au milieu d’une atmosphère dominée par une forte odeur de souffre. Par ailleurs, l’affaire Sagura a retenu l’attention des camarades de Moustapha Niasse. Ils constatent que même dans leur « noyade lamentable », les libéraux à la carte n’arrivent guère à accorder leurs violons. « Quand le porte parole du Gouvernement nie toute implication des autorités, le premier Ministre qualifie le montant de 65 millions de « broutilles » et le Ministre des Affaires Etrangères reconnaît la réalité du « cadeau monétaire » en bredouillant l’argument des traditions africaines. Maîtres, l’aveu n’est-il plus la reine des preuves ? », renseigne le communiqué.
On ne peut pas nier l’histoire individuelle de ces Sénégalais…..
L’Unesco ayant été historiquement le produit d’un malentendu, M. Amadou Mahtar Mbow a eu le mérite, selon les « Progressistes », « d’affronter ce malentendu en se plaçant fermement sur le sillage de l’Acte constitutif de cette Organisation, qui a fini par retomber dans la réalité des rapports de force qui régissent le monde ».
C’est pourquoi l’Afp, engage Maître Abdoulaye Wade à changer de grille de lecture, « malgré son agressivité clinique, qui l’amène à nier l’histoire individuelle exemplaire de tous les Sénégalais de valeur qui brillent sur la scène internationale, comme Amadou Mahtar Mbow, Moustapha Niasse, Jacques Diouf, Ibrahima Fall, Moussa Touré, entre autres. C’est bien pour cette raison que le Sénégal est moins présent dans les Organisations internationales, depuis l’avènement de Maître Wade ».
Durer, c’est tomber…
Pour les « Progressistes », cette logique dont la seule boussole est constituée par les intérêts d’un clan, a également amené Maître Wade à proposer, en l’espace de quelques jours, deux formats du dialogue politique totalement différents. « Même les actes posés à l’échelle gouvernementale obéissent à l’obsessionnelle préoccupation : durer. Or comme le disait Régis Debré, « durer, c’est tomber », souligne la même source.
Dénoncer l’esprit de caporalisation
Aussi, le Bureau politique de l’AFP dénonce-t-il, avec la dernière énergie, « l’esprit de caporalisation des tenants du pouvoir qui n’épargne ni le mouvement navétane ni les paysans dotés d’un ministère de la syndicalisation, ni les malheureux pêcheurs en provenance de Guinée-Bissau à qui un ministre a demandé cyniquement de voter pour les prédateurs impénitents, pour dix millions de francs CFA ».
Les « Progressistes » lancent un appel à tous les partenaires de Bennoo Siggil Senegaal, à tous les patriotes et à tous les démocrates « pour s’inscrire, dans l’unité et la loyauté, dans des perspectives de lutte afin de gagner ensemble et de gouverner ensemble, au profit de l’intérêt général ».
L’aveu de Me Madické Niang
Après la parodie électorale de février 2007, après les sommes astronomiques englouties dans l’opacité totale par l’ANOCI, voilà que l’affaire Segura, condensé de médiocrité inattendue, pollue les relations du Sénégal avec les bailleurs de fonds, au milieu d’une atmosphère dominée par une forte odeur de souffre. Par ailleurs, l’affaire Sagura a retenu l’attention des camarades de Moustapha Niasse. Ils constatent que même dans leur « noyade lamentable », les libéraux à la carte n’arrivent guère à accorder leurs violons. « Quand le porte parole du Gouvernement nie toute implication des autorités, le premier Ministre qualifie le montant de 65 millions de « broutilles » et le Ministre des Affaires Etrangères reconnaît la réalité du « cadeau monétaire » en bredouillant l’argument des traditions africaines. Maîtres, l’aveu n’est-il plus la reine des preuves ? », renseigne le communiqué.