Pire a vécu, ce vendredi, la 107e édition de son gamou annuel. Célébré sous la conduite du khalife de Pire, Serigne Moustapha Cissé, ce gamou a été l’occasion de revenir sur les questions d’actualité. Le gouvernement y était représenté par une forte délégation conduite par le ministre de l’Intérieur Bécaye Diop et composée notamment par les ministres Sada Ndiaye et Modou Bousso Lèye de la Culture.
Livrant le message du président Wade au khalife de Pire, Bécaye Diop a mis en garde les Sénégalais contre les risques d’un soulèvement. « Ce qui se passe dans d’autres pays peut bien arriver au Sénégal », a dit le ministre de l’Intérieur qui pense qu’il est temps d’arrêter les polémiques afin de prévenir d’éventuels soulèvements.
Faisant écho à l’appel du ministre de l’Intérieur, le khalife de Pire a demandé aux Sénégalais, notamment les opposants, d’arrêter de demander la démission du président Abdoulaye Wade. Parce que, dit-il, « Wade a été élu au suffrage universel et il n’est pas encore en fin de mandat ». « Il faut que les polémiques cessent. Nous ne pouvons pas maintenir le pays dans une campagne électorale permanente », a insisté Serigne Moustapha Cissé. Evoquant la dernière actualité dominée par la colère de la communauté chrétienne suite à la sortie de Wade comparant le monument de la renaissance aux les représentations de Jésus-Christ dans les églises, le khalife de Pire a rappelé que « le Sénégal est toujours donné en exemple dans le monde grâce notamment à la cohabitation pacifique entre musulmans et chrétiens ». Et ce citer l’exemple de Léopold Sédar Senghor, un chrétien qui a été le premier président d’un Sénégal composé à 95% de musulmans. « Le Président Abdoulaye Wade n’est pas l’homme qui va détruire cette cohésion sociale. Me Wade respecte et tient beaucoup aux religions », a soutenu le khalife de la famille Cissé de Pire.
Livrant le message du président Wade au khalife de Pire, Bécaye Diop a mis en garde les Sénégalais contre les risques d’un soulèvement. « Ce qui se passe dans d’autres pays peut bien arriver au Sénégal », a dit le ministre de l’Intérieur qui pense qu’il est temps d’arrêter les polémiques afin de prévenir d’éventuels soulèvements.
Faisant écho à l’appel du ministre de l’Intérieur, le khalife de Pire a demandé aux Sénégalais, notamment les opposants, d’arrêter de demander la démission du président Abdoulaye Wade. Parce que, dit-il, « Wade a été élu au suffrage universel et il n’est pas encore en fin de mandat ». « Il faut que les polémiques cessent. Nous ne pouvons pas maintenir le pays dans une campagne électorale permanente », a insisté Serigne Moustapha Cissé. Evoquant la dernière actualité dominée par la colère de la communauté chrétienne suite à la sortie de Wade comparant le monument de la renaissance aux les représentations de Jésus-Christ dans les églises, le khalife de Pire a rappelé que « le Sénégal est toujours donné en exemple dans le monde grâce notamment à la cohabitation pacifique entre musulmans et chrétiens ». Et ce citer l’exemple de Léopold Sédar Senghor, un chrétien qui a été le premier président d’un Sénégal composé à 95% de musulmans. « Le Président Abdoulaye Wade n’est pas l’homme qui va détruire cette cohésion sociale. Me Wade respecte et tient beaucoup aux religions », a soutenu le khalife de la famille Cissé de Pire.