“Merci ! Merci à toutes les Sénégalaises et à tous les Sénégalais. Merci à ma famille. Merci à mes amis et collègues du monde de la formation professionnelle. Merci à mes frères et soeurs patriotes. Merci à la société civile et aux défenseurs des droits de l’homme. Merci à Serigne Mountakha Mbacké et à tous les chefs religieux qui ont œuvré pour que la paix s’installe dans notre pays. Mes pensées pieuses à l’endroit de tous ceux qui ont perdu la vie, en voulant défendre la démocratie”, a dit Abass Fall.
Pour lui, la mort des jeunes manifestants ne sera pas vaine. Il a soutenu ne s’être jamais senti en prison parce que son esprit ne l’était pas. « Macky Sall nous à rendu un grand service parce qu’il a décuplé notre détermination et notre engagement à lui faire face. Nous allons concentrer toute notre énergie pour lui barrer la route, dans sa tentative de vouloir transformer notre pays en monarchie. Le combat continue”, a-t-il écrit sur sa page Facebook.
Abass Fall a été libéré jeudi avec l’administrateur du parti de Ousmane Sonko, “Pastef Les Patriotes”. Ils étaient poursuivis pour « association de malfaiteurs, complicité de diffusion de contenus contraires aux bonnes mœurs, menace de voie de fait et violence ». Cela faisait suite à l’interpellation du leader de Pastef Ousmane Sonko, visé par une plainte pour « viols et menaces de mort ».
Pour lui, la mort des jeunes manifestants ne sera pas vaine. Il a soutenu ne s’être jamais senti en prison parce que son esprit ne l’était pas. « Macky Sall nous à rendu un grand service parce qu’il a décuplé notre détermination et notre engagement à lui faire face. Nous allons concentrer toute notre énergie pour lui barrer la route, dans sa tentative de vouloir transformer notre pays en monarchie. Le combat continue”, a-t-il écrit sur sa page Facebook.
Abass Fall a été libéré jeudi avec l’administrateur du parti de Ousmane Sonko, “Pastef Les Patriotes”. Ils étaient poursuivis pour « association de malfaiteurs, complicité de diffusion de contenus contraires aux bonnes mœurs, menace de voie de fait et violence ». Cela faisait suite à l’interpellation du leader de Pastef Ousmane Sonko, visé par une plainte pour « viols et menaces de mort ».