« Il y a eu, explique-t-il, des échauffourées malheureuses au siège de l’APR. Des responsables de Dakar se sont mis ensemble pour collecter des parrainages. Dakar est une locomotive pour la présidentielle. Si vous améliorez votre résultat de 10 ou 15 points à Dakar, vous impactez positivement le résultat national. C’est un devoir de s’investir. Ils l’ont fait et sont allés au siège pour remettre leurs parrainages. Là, entre responsables, il y a eu des problèmes pour des sièges ou ce genre de choses. En réalité, c’est ça, mais il n’y a pas une guerre de leadership. »
Plus loin, le ministre du Commerce dira qu’à Dakar, « il y a un travail à faire. La priorité, c’est de mobiliser les électeurs de Benno Bokk Yakaar. On a un bon candidat, un bon programme, un bon bilan du président de la République, ce qu’il nous faut, c’est faire en sorte que nous soyons ensemble et que chacun travaille selon ses capacités. L’enjeu, c’est que notre candidat gagne au premier tour et que Dakar participe massivement à cette victoire».
Et d’ajouter, « quatre millions de parrains, c’est sérieux, c’est de l’ardeur militante. Le parrainage est un moment de mobilisation. Les états-majors politiques qui en ont les moyens, ont le droit de mobiliser leurs militants. Cela nous permet d’aller vers les populations et d’évaluer nos forces ».
Etat de la démocratie sénégalaise
Le porte-parole du gouvernement a aussi rappelé pourquoi le Sénégal demeure une démocratie. « Nous sommes, a-t-il dit au micro de Fabrice Nguéma, dans un pays où aux dernières Locales, l’opposition a remporté de grandes villes. Un pays où aux législatives notre coalition et celles des oppositions réunies étaient au coude à coude en nombre de sièges. Un pays où il y a 40 radios, une vingtaine de télés, une centaine de sites d’informations. Dans un tel pays, on veut parler de confiscation des libertés ».
En conclusion, Abdou Karim Fofana affirme : « Le Sénégal est une démocratie, les voies et moyens pour arriver au pouvoir sont connus de tous. Me Abdoulaye Wade et le Président MackySall les ont empruntés. On a des lois et règlements qui s’appliquent à tous. Souvent, il y a des décisions de justice défavorables à l’Etat du Sénégal. Quand nous ne sommes pas satisfaits, nous épuisons les voies de recours, sans appeler à casser ni attenter à quoi que ce soit. C’est ça la démocratie, c’est ça être républicain. Malheureusement, cette attitude manque à certains hommes politiques ».
Plus loin, le ministre du Commerce dira qu’à Dakar, « il y a un travail à faire. La priorité, c’est de mobiliser les électeurs de Benno Bokk Yakaar. On a un bon candidat, un bon programme, un bon bilan du président de la République, ce qu’il nous faut, c’est faire en sorte que nous soyons ensemble et que chacun travaille selon ses capacités. L’enjeu, c’est que notre candidat gagne au premier tour et que Dakar participe massivement à cette victoire».
Et d’ajouter, « quatre millions de parrains, c’est sérieux, c’est de l’ardeur militante. Le parrainage est un moment de mobilisation. Les états-majors politiques qui en ont les moyens, ont le droit de mobiliser leurs militants. Cela nous permet d’aller vers les populations et d’évaluer nos forces ».
Etat de la démocratie sénégalaise
Le porte-parole du gouvernement a aussi rappelé pourquoi le Sénégal demeure une démocratie. « Nous sommes, a-t-il dit au micro de Fabrice Nguéma, dans un pays où aux dernières Locales, l’opposition a remporté de grandes villes. Un pays où aux législatives notre coalition et celles des oppositions réunies étaient au coude à coude en nombre de sièges. Un pays où il y a 40 radios, une vingtaine de télés, une centaine de sites d’informations. Dans un tel pays, on veut parler de confiscation des libertés ».
En conclusion, Abdou Karim Fofana affirme : « Le Sénégal est une démocratie, les voies et moyens pour arriver au pouvoir sont connus de tous. Me Abdoulaye Wade et le Président MackySall les ont empruntés. On a des lois et règlements qui s’appliquent à tous. Souvent, il y a des décisions de justice défavorables à l’Etat du Sénégal. Quand nous ne sommes pas satisfaits, nous épuisons les voies de recours, sans appeler à casser ni attenter à quoi que ce soit. C’est ça la démocratie, c’est ça être républicain. Malheureusement, cette attitude manque à certains hommes politiques ».