
« Quand le Conseil juge votre démarche nulle et non avenue, vous brandissez ça comme une victoire ? Quelle souplesse d’esprit ! » déclare-t-il, appelant le Pastef à clarifier précisément quelles de leurs propositions ont été rejetées et pourquoi.
Pour Malick Ndour, toute la communication du Pastef n’est qu’« enfumage post-échec maquillé en triomphe moral », accusant le parti d’esquiver l’essentiel et de vouloir « sauver des milliers de patriotes » sans assumer leurs actes.
En conclusion, il ironise sur « la fameuse lune » pointée par Sonko, estimant que c’est le doigt même qui obscurcit le ciel et révèle la gêne de ceux qui cherchent à se soustraire à la loi.
Cette réaction ouvre une nouvelle séquence dans le débat politique post-décision du Conseil Constitutionnel, relançant la polémique sur la sincérité et la portée des initiatives du Pastef.
Pour Malick Ndour, toute la communication du Pastef n’est qu’« enfumage post-échec maquillé en triomphe moral », accusant le parti d’esquiver l’essentiel et de vouloir « sauver des milliers de patriotes » sans assumer leurs actes.
En conclusion, il ironise sur « la fameuse lune » pointée par Sonko, estimant que c’est le doigt même qui obscurcit le ciel et révèle la gêne de ceux qui cherchent à se soustraire à la loi.
Cette réaction ouvre une nouvelle séquence dans le débat politique post-décision du Conseil Constitutionnel, relançant la polémique sur la sincérité et la portée des initiatives du Pastef.