"Mansour Sy Djamil, je le cite, a dit qu’il n’y a aucune amélioration tangible qui soit notée depuis l’arrivée de Macky Sall au pouvoir. Il ne s’agit pas d’une analyse, mais plutôt d’un commentaire politicien. En le disant, il oublie tout simplement que le Président Macky Sall, entre autres, a promis au Sénégal ce qu’on appelle la Bourse de sécurité familiale.
A l’instant où nous parlons, 50 000 familles vont être concernées, après que 50 000 l’ont été. On passe de la phase pilote de la distribution de cette Bourse, à la phase de finalisation lancée à Kaffrine. Il ne faut pas dire que -rien en se basant sur l’impact de la Bourse de sécurité familiale sur 250 000 familles, d’ici à 2017 - comme l’a dit dit Mansour Sy 'Djamil', qu’il n’y a aucune amélioration tangible dans ce pays. Il faut le préciser, la Bourse de sécurité familiale n’est pas une aumône, ce n’est pas la Zakat, non plus. Elle vise à tirer de la pauvreté les couches les plus démunies, en les incitant, en même temps, à la couverture vaccinale des enfants de 0 à 5 ans, au maintien à l’école des enfants, de 6 à 12 ans, et également la déclaration à l’état-civil. Ce sont ces incitations-là qui outillent davantage la Bourse de sécurité familiale.
Mais, puisque Mansour Sy 'Djamil', en dépit de tout cela, dit qu’il n’y a pas d’amélioration sociale, on peut simplement lui rétorquer, puisqu’il se réclame à la fois un homme politique et religieux, que 100 000 F Cfa à 250 000 familles, jusqu’en 2017, c’est - je prends un exemple - 50 000 personnes qui vont être concernées par la généralisation, après que 50 000 autres l’ont été.
Alors, si on prend 50 000 familles qui ont épargné chacune, 4 millions de F Cfa, pendant un an, et qu’ils observent la Zakat comme pilier de l’islam, ça veut dire que l’Etat du Sénégal s’est substitué à 50 000 ménages qui ont épargné 4 millions de F Cfa, pendant un an, et qui doivent, à ce titre-là, verser 100 000 F Cfa de ces 4 millions à 50 000 familles, au titre de la Zakat. Qu’un homme religieux, comme Mansour Sy 'Djamil', ne soit pas sensible à cela, signifie tout simplement qu’il n’est plus dans la critique ou dans l’analyse politique, mais, plutôt, dans la surenchère politicienne. Je suis étonné de me rendre compte que, en réalité, qu’il considère que la politique politicienne est supérieure à la religion si je fais la comparaison entre l’effort de l’Etat dans le social à la nécessité d’observer un pilier de l’islam qui est la Zakat".
A l’instant où nous parlons, 50 000 familles vont être concernées, après que 50 000 l’ont été. On passe de la phase pilote de la distribution de cette Bourse, à la phase de finalisation lancée à Kaffrine. Il ne faut pas dire que -rien en se basant sur l’impact de la Bourse de sécurité familiale sur 250 000 familles, d’ici à 2017 - comme l’a dit dit Mansour Sy 'Djamil', qu’il n’y a aucune amélioration tangible dans ce pays. Il faut le préciser, la Bourse de sécurité familiale n’est pas une aumône, ce n’est pas la Zakat, non plus. Elle vise à tirer de la pauvreté les couches les plus démunies, en les incitant, en même temps, à la couverture vaccinale des enfants de 0 à 5 ans, au maintien à l’école des enfants, de 6 à 12 ans, et également la déclaration à l’état-civil. Ce sont ces incitations-là qui outillent davantage la Bourse de sécurité familiale.
Mais, puisque Mansour Sy 'Djamil', en dépit de tout cela, dit qu’il n’y a pas d’amélioration sociale, on peut simplement lui rétorquer, puisqu’il se réclame à la fois un homme politique et religieux, que 100 000 F Cfa à 250 000 familles, jusqu’en 2017, c’est - je prends un exemple - 50 000 personnes qui vont être concernées par la généralisation, après que 50 000 autres l’ont été.
Alors, si on prend 50 000 familles qui ont épargné chacune, 4 millions de F Cfa, pendant un an, et qu’ils observent la Zakat comme pilier de l’islam, ça veut dire que l’Etat du Sénégal s’est substitué à 50 000 ménages qui ont épargné 4 millions de F Cfa, pendant un an, et qui doivent, à ce titre-là, verser 100 000 F Cfa de ces 4 millions à 50 000 familles, au titre de la Zakat. Qu’un homme religieux, comme Mansour Sy 'Djamil', ne soit pas sensible à cela, signifie tout simplement qu’il n’est plus dans la critique ou dans l’analyse politique, mais, plutôt, dans la surenchère politicienne. Je suis étonné de me rendre compte que, en réalité, qu’il considère que la politique politicienne est supérieure à la religion si je fais la comparaison entre l’effort de l’Etat dans le social à la nécessité d’observer un pilier de l’islam qui est la Zakat".