"Je mène une carrière politique depuis plus de 15 ans et ce n’est pas aujourd’hui que les gens me font des intimidations pour que je renonce à mon idéal. J’ai un idéal et cet idéal, c’est qu’aujourd’hui le Sénégal soit un pays de liberté, un pays démocratique, un pays développé à l’image de ce qui se passe à l’international. Mais pas un pays où on opprime les gens qui émettent leurs idées, qui veulent s’exprimer. Je refuse d’être un témoin impuissant devant cette prise en otage de la classe politique. Donc, je m’oppose", a dit Abdoulaye Mamadou Guissé au Pop.
Pour lui, le Sénégal n'est pas un pays démocratique contrairement à ce qui se dit. "C’est un constat de fait pour le régime de Macky Sall. Macky Sall c’est le seul Président de la sous-région qui refuse d’avoir des opposants. Aujourd’hui, même Yaya Jammeh a pris une option, c’est d’être un dictateur et il ne s’en cache pas. Mais Macky Sall veut être un dictateur qui se cache derrière l’inacceptable. Ce que nous disons, c’est que nous sommes devant un recul démocratique. Au temps du régime des socialistes, cette répression des opposants n’était pas à ce niveau. Aujourd’hui, Macky Sall veut aller en élection seul en 2017, sans opposant. Mais je pense que c’est la mort dans l’âme que je dis que c’est un échec pour lui. Les gens ne le laisseront pas faire, nous allons nous opposer. Si Macky Sall ne libère pas les prisonniers politiques, il n’y aura pas d’élection et il sortira du Palais", a encore martelé M. Guissé.
"La libération de Karim Wade est une demande sociale. Les Sénégalais ne dorment plus dans leur conscience. Parce que dans leur conscience, il y a cette injustice qui les gangrène. C’est pour cela que Karim Wade, Aïda Ndiongue, Aziz Diop, sont des demandes sociales, à l’image de la cherté de la vie, du chômage, de l’électricité et de l’eau. Toutes ses demandes font que le Sénégal est sur une bombe à retardement et je pense que s’il ne libère pas Karim Wade et compagnie, il n’y aura pas d’élection en 2017. S’il veut ce bras de fer qu’il continue. De toute façon, on ne dialogue pas en mettant des gens en prison. Je suis contre cet état de fait, je ne dialogue pas sur cet angle. S’il veut dialoguer, qu’il le montre à travers des actes, qu’il libère les prisonniers politiques et qu’il cesse d’intimider les gens et de faire de la police son instrument de bataille.", a estimé ce membre de du Front patriotique pour la défense de la République.
Pour lui, le Sénégal n'est pas un pays démocratique contrairement à ce qui se dit. "C’est un constat de fait pour le régime de Macky Sall. Macky Sall c’est le seul Président de la sous-région qui refuse d’avoir des opposants. Aujourd’hui, même Yaya Jammeh a pris une option, c’est d’être un dictateur et il ne s’en cache pas. Mais Macky Sall veut être un dictateur qui se cache derrière l’inacceptable. Ce que nous disons, c’est que nous sommes devant un recul démocratique. Au temps du régime des socialistes, cette répression des opposants n’était pas à ce niveau. Aujourd’hui, Macky Sall veut aller en élection seul en 2017, sans opposant. Mais je pense que c’est la mort dans l’âme que je dis que c’est un échec pour lui. Les gens ne le laisseront pas faire, nous allons nous opposer. Si Macky Sall ne libère pas les prisonniers politiques, il n’y aura pas d’élection et il sortira du Palais", a encore martelé M. Guissé.
"La libération de Karim Wade est une demande sociale. Les Sénégalais ne dorment plus dans leur conscience. Parce que dans leur conscience, il y a cette injustice qui les gangrène. C’est pour cela que Karim Wade, Aïda Ndiongue, Aziz Diop, sont des demandes sociales, à l’image de la cherté de la vie, du chômage, de l’électricité et de l’eau. Toutes ses demandes font que le Sénégal est sur une bombe à retardement et je pense que s’il ne libère pas Karim Wade et compagnie, il n’y aura pas d’élection en 2017. S’il veut ce bras de fer qu’il continue. De toute façon, on ne dialogue pas en mettant des gens en prison. Je suis contre cet état de fait, je ne dialogue pas sur cet angle. S’il veut dialoguer, qu’il le montre à travers des actes, qu’il libère les prisonniers politiques et qu’il cesse d’intimider les gens et de faire de la police son instrument de bataille.", a estimé ce membre de du Front patriotique pour la défense de la République.