Depuis la création du PDS suite à l'adoption du pluripartisme instauré par Léopold Sédar SENGHOR en 1974 et le multipartisme par Abdou DIOUF en 1981, la violence politique est devenue le seul moyen pour Maître Abdoulaye WADE de satisfaire ses ambitions face à l'ETAT.
Par sa stratégie, WADE constitue toujours une grave menace contre l'unité, la cohésion sociale car empêchant la possibilité d'établir le dialogue entre les différents acteurs, parce que, sacrifiant toujours des vies humaines en portant la gravité des faits à leur paroxysme. Sa stratégie : « la violence », orchestrée par ses hommes de confiance est à l'origine des dérives économiques et politico-judiciaires de notre pays. Ces hommes se sont reconvertis en bandits qui agissent sans coup férir sur la politique dans tous les plans au niveau de toutes les stations qu'ils ont occupées sous sa magistère. N'est-ce pas WADE qui disait en ce sens que « si le pays veut l'alternance, il faut qu'elle soit faite quels que soient les prix et les moyens ». Aujourd'hui, il dit : « si Karim est condamné, je rendrai le pays ingouvernable », « Karim est le seul challenger de Macky SALL ». Karim, c'est son fils biologique qu'il a qualifié de meilleur des sénégalais, le plus intelligent, le seul capable de cumuler quatre ministères. Ces mêmes hommes le croient encore et veulent répéter l'histoire : comme qui dirait que le criminel revient sur les lieux du crime. De 1988 à 2000 c'était son propre affaire, maintenant c'est l'affaire de son fils et il veut le conduire comme d'habitude par la violence. La stratégie de l'infiltration pour brûler des bus, assassiner des étudiants est de mise mais le peuple sénégalais est mûr et le Président Macky SALL est très bien averti car connaissant bien l'homme WADE et ses affidés.
Résumons-nous pour rappeler aux sénégalais les tâches de sang dans les mains de WADE ; le 28 Février 1988, lors des élections présidentielles, des émeutes sanglantes ont émaillé le scrutin à la suite desquelles, des personnes ont été arrêtées et jugées sur toute l'étendue du territoire national. En 1993 aussi, le même scénario se répète mais cette fois-ci, la violence fut menée intelligemment par l'assassinat du juge constitutionnel, le 15 Mai 1993. Celui qui devait rendre le verdict des urnes des élections législatives du 09 Mai de la même année ; Maître Babacar SEYE. A l'issu d'une enquête menée par main de maître, les assassins furent clairement identifiés ; Assane DIOP, Pape Ibrahima DIAKHATE et Clédor SENE qui désignèrent WADE, son épouse, son conseiller financier Samuel Ahmeth SARR, Ousmane NGOM et Abdoulaye FAYE comme les commanditaires de ce crime crapuleux. Le Président DIOUF par son tempérament d'homme d'Etat accepta le dialogue pour apaiser le climat politique. Le doute était semé dans la mémoire des sénégalais qui croyaient ferme que c'était DIOUF qui avait liquidé le Juge SEYE pour l'empêcher de proclamer sa défaite. Le 16 Février 1994, 09 policiers et un civile trouvèrent la mort sous la responsabilité de WADE. Le guide religieux des " Mouchtakhchidine" fut arrêté.
Mais, au regard de l'attitude de WADE devenu Président, par une grâce présidentielle du 22 Janvier 2002 et de la fameuse loi Ezzan adoptée le 07 Janvier 2005, les assassins de Maître SEYE bénéficient d'une amnistie.
En 2000, en réussissant à faire haïr DIOUF aux sénégalais, WADE fut élu. La violence politique revient sous la forme d'un diktat du parti au pouvoir comptant des bandits en son sein à qui on a confié de hautes responsabilités. Des opposants et des membres de la société civile sont malmenés sous les yeux de la justice confiée à un ministre issue du lot des tortueux, les empêchant de dénoncer les dérives. L'arrogance et l'ignorance juxtaposent la délinquance qui s'exprime par des agressions : Talla SYLLA, Alioune TINE, Abdoulaye WADE Yengu, Malick Ba de Sangalkam, l'étudiant Mamadou DIOP, les groupes de presse l'AS et 24 H chrono, walfadjiri, la mairie de Mermoz dirigée par Barthélémy DIAS, les menaces de mort contre le clergé épiscopal, la catastrophe du JOOLA…Avec WADE, comme je l'ai toujours dit, la justice et la liberté se négocient et tout tourne autour de ses propres ambitions et celles de sa familles, non d'avec celles du peuple. Sommes-nous conscients de cela ?
Seule la conscience collective mettra fin à cette stratégie de conquérir le pouvoir par la violence par des hommes composés de rapaces et d'irresponsables. Il faut souligner aussi l'hypocrisie de certains hommes qui se disent politologues ou « droit de l'hommistes », petits marabouts ou autorités coutumières qui savent tout sur WADE mais qui refusent de lui dire la vérité. Cette vérité constructive qui conscientise le peuple pour une Paix et une cohésion sociale gage de l'émergence. Le Sénégal est en crise, la crise est une crise des valeurs qui appelle à un débat de conscience qui doit se faire à l'intérieur de chacun de nous pour vaincre le mal qui nous égare et nous mène d'erreur en erreur. Ce mal, nous empêche d'avancer, ce mal nous met à la queue du peloton des pays émergents. Méditons encore pendant qu'il est tant. Refusons à WADE le sacrifice de nos enfants pour le compte de son fils. « Dieu nous a donné la liberté pour faire le bien, la conscience pour le vouloir et la raison pour le choisir. » disait Rousseau. Soyons libres, conscients et raisonnables envers ce que nous avons en commun pour le parfaire dans la dignité.
Malick Wade GUEYE, depuis Almeria/ Espagne.
Par sa stratégie, WADE constitue toujours une grave menace contre l'unité, la cohésion sociale car empêchant la possibilité d'établir le dialogue entre les différents acteurs, parce que, sacrifiant toujours des vies humaines en portant la gravité des faits à leur paroxysme. Sa stratégie : « la violence », orchestrée par ses hommes de confiance est à l'origine des dérives économiques et politico-judiciaires de notre pays. Ces hommes se sont reconvertis en bandits qui agissent sans coup férir sur la politique dans tous les plans au niveau de toutes les stations qu'ils ont occupées sous sa magistère. N'est-ce pas WADE qui disait en ce sens que « si le pays veut l'alternance, il faut qu'elle soit faite quels que soient les prix et les moyens ». Aujourd'hui, il dit : « si Karim est condamné, je rendrai le pays ingouvernable », « Karim est le seul challenger de Macky SALL ». Karim, c'est son fils biologique qu'il a qualifié de meilleur des sénégalais, le plus intelligent, le seul capable de cumuler quatre ministères. Ces mêmes hommes le croient encore et veulent répéter l'histoire : comme qui dirait que le criminel revient sur les lieux du crime. De 1988 à 2000 c'était son propre affaire, maintenant c'est l'affaire de son fils et il veut le conduire comme d'habitude par la violence. La stratégie de l'infiltration pour brûler des bus, assassiner des étudiants est de mise mais le peuple sénégalais est mûr et le Président Macky SALL est très bien averti car connaissant bien l'homme WADE et ses affidés.
Résumons-nous pour rappeler aux sénégalais les tâches de sang dans les mains de WADE ; le 28 Février 1988, lors des élections présidentielles, des émeutes sanglantes ont émaillé le scrutin à la suite desquelles, des personnes ont été arrêtées et jugées sur toute l'étendue du territoire national. En 1993 aussi, le même scénario se répète mais cette fois-ci, la violence fut menée intelligemment par l'assassinat du juge constitutionnel, le 15 Mai 1993. Celui qui devait rendre le verdict des urnes des élections législatives du 09 Mai de la même année ; Maître Babacar SEYE. A l'issu d'une enquête menée par main de maître, les assassins furent clairement identifiés ; Assane DIOP, Pape Ibrahima DIAKHATE et Clédor SENE qui désignèrent WADE, son épouse, son conseiller financier Samuel Ahmeth SARR, Ousmane NGOM et Abdoulaye FAYE comme les commanditaires de ce crime crapuleux. Le Président DIOUF par son tempérament d'homme d'Etat accepta le dialogue pour apaiser le climat politique. Le doute était semé dans la mémoire des sénégalais qui croyaient ferme que c'était DIOUF qui avait liquidé le Juge SEYE pour l'empêcher de proclamer sa défaite. Le 16 Février 1994, 09 policiers et un civile trouvèrent la mort sous la responsabilité de WADE. Le guide religieux des " Mouchtakhchidine" fut arrêté.
Mais, au regard de l'attitude de WADE devenu Président, par une grâce présidentielle du 22 Janvier 2002 et de la fameuse loi Ezzan adoptée le 07 Janvier 2005, les assassins de Maître SEYE bénéficient d'une amnistie.
En 2000, en réussissant à faire haïr DIOUF aux sénégalais, WADE fut élu. La violence politique revient sous la forme d'un diktat du parti au pouvoir comptant des bandits en son sein à qui on a confié de hautes responsabilités. Des opposants et des membres de la société civile sont malmenés sous les yeux de la justice confiée à un ministre issue du lot des tortueux, les empêchant de dénoncer les dérives. L'arrogance et l'ignorance juxtaposent la délinquance qui s'exprime par des agressions : Talla SYLLA, Alioune TINE, Abdoulaye WADE Yengu, Malick Ba de Sangalkam, l'étudiant Mamadou DIOP, les groupes de presse l'AS et 24 H chrono, walfadjiri, la mairie de Mermoz dirigée par Barthélémy DIAS, les menaces de mort contre le clergé épiscopal, la catastrophe du JOOLA…Avec WADE, comme je l'ai toujours dit, la justice et la liberté se négocient et tout tourne autour de ses propres ambitions et celles de sa familles, non d'avec celles du peuple. Sommes-nous conscients de cela ?
Seule la conscience collective mettra fin à cette stratégie de conquérir le pouvoir par la violence par des hommes composés de rapaces et d'irresponsables. Il faut souligner aussi l'hypocrisie de certains hommes qui se disent politologues ou « droit de l'hommistes », petits marabouts ou autorités coutumières qui savent tout sur WADE mais qui refusent de lui dire la vérité. Cette vérité constructive qui conscientise le peuple pour une Paix et une cohésion sociale gage de l'émergence. Le Sénégal est en crise, la crise est une crise des valeurs qui appelle à un débat de conscience qui doit se faire à l'intérieur de chacun de nous pour vaincre le mal qui nous égare et nous mène d'erreur en erreur. Ce mal, nous empêche d'avancer, ce mal nous met à la queue du peloton des pays émergents. Méditons encore pendant qu'il est tant. Refusons à WADE le sacrifice de nos enfants pour le compte de son fils. « Dieu nous a donné la liberté pour faire le bien, la conscience pour le vouloir et la raison pour le choisir. » disait Rousseau. Soyons libres, conscients et raisonnables envers ce que nous avons en commun pour le parfaire dans la dignité.
Malick Wade GUEYE, depuis Almeria/ Espagne.